Septième Pas II

 

 

Les natures des divers signes se distinguent par leur sensibilité énergétique, par leur capacité à établir le contact avec d’autres spectres d’énergie et à manipuler avec les courants énergétiques.

Les bouddhistes : le Rat, le Lapin, le Cheval et le Coq possèdent un corps énergétique plus élastique et sensible, ils sont plus pacifiques et curieux de tout ce qui se produit autour d’eux. Ils aiment la présence des autres et s’y intéressent, ils apprécient les contacts et cultivent les possibilités de trouver un thème pour une discussion. Ils tirent plaisir de leurs capacités spontanées d’adaptation à l’atmosphère collective qui les entoure. Ce groupe est performant dans l’analyse intuitive de l’énergie des personnes, des objets, des situations et préfère en savoir le plus possible avant d’agir.

La tâche principale pour la nature et le corps énergétique de ce groupe, c’est la vitalité et capacité de s’adapter rapidement. Cette adaptation consiste à sentir les mutations autour de soi et à les utiliser le plus vite possible pour ses besoins. La personne qui possède une sensibilitédéveloppéedumondeextérieur, louvoie doucement parmi des situations difficiles, en évitant les collisions, les affaiblissements et les traumatismes. On peut dire que c’est le processus en soi que les bouddhistes apprécient.

Les confucéens - le Buffle, le Dragon, le Bélier et le Chien - possèdent une carcasse énergétique forte et dure, une résistance qu’ils testent avec plaisir dans les situations les plus difficiles qui surgissent dans la vie. Ce sont des aventuriers, ils adorent le risque. S’ils ont pris une décision, ils font de leur mieux pour la réaliser, sans que rien ne les arrête. Concentrés sur leur but principal, les confucéens vont négliger, passer à côté des autres possibilités. Mêmes si celles- ci sont intéressantes, enrichissantes, de leur point de vue, elles les éloignent de la réalisation de leur idée. Ils évitent les obstacles, se font des bosses énergétiques, mais ils mobilisent tous leurs forces pour atteindre leur but. Si quelque chose ou quelqu’un vient déranger le déroulement rapide d’une action commencée, s’ils s’en mêlent de façon intrusive, s’ils tentent de la détourner en introduisant des éléments étrangers, en créant des faits ou des situations sans rapport direct avec cette action, les confucéens les soumettent à une action dure et destructive, les chassent comme des mouches intempestives. C’est le but que les confucéens adorent.

Les taoïstes : le Tigre, le Serpent, le Singe et le Sanglier se distinguent par un corps énergétique plein, dense et consistant. Ils ont besoin d’une vie orageuse, chaotique, remplie de collisions dramatiques. Ils ont besoin d’une vie qui soit comme un massage tonique et profond des différentes parties de leur corps énergétique. Le dynamisme externe, les tourbillons des événements permettent d’accélérer l’évolution de leur

nature, de stimuler leurs échanges énergo-informationnels. Les personnes de ce groupe adorent les fêtes - elles y plongent tête la première et se précipitent dans leur vertige pour absorber jusqu’au tréfonds de leur nature cette atmosphère tonifiante. Ils n’ont pas le temps d’écouter, d’entrer dans le développement subtile des événements, ils rassemblent toutes leurs forces pour capter le plus possible la résonance qui les mobilise, pour vibrer sur la note la plus aiguë de l’effervescence des passions, pour tourbillonner jusqu’à en perdre le sens de l’orientation au cœur de la bourrasque tumultueuse qui les entoure. Et ce n’est que lorsqu’ ils ont la gueule de bois qu’ils peuvent se mettre à regarder les évènements qui ont défilé à toute allure, à compter les verres cassés et les chaussures abîmées.

Les taoïstes  -   ce sont les amateurs du chaos dans un processus dénué de but.

La classification des qualités par différents groupes ne représente qu’une seule facette de la nature multiple de l’homme, mais il faut les prendre en compte pour créer une famille.

On peut préciser, en les généralisant, les variantes les plus bénéfiques dans la quête de sa deuxième moitié.

Pour le bouddhiste yang, c’est-à- dire pour le Rat et le Cheval, la constitution d’une base familiale solide est possible avec la bouddhiste yin - le Lapin ou le Coq.

Pour le bouddhiste yin, le Lapin ou le Coq, la meilleure compagne peut être la confucéenne yang, le Dragon ou le Chien.

Pour le confucéen yang, le Dragon ou le Chien, l’union la plus riche peut être avec la taoïste yang, le Tigre ou le Singe. Pour le confucéen yin, le Buffle ou la Chèvre, il est bénéfique d’épouser la bouddhiste yang, le Rat ou le Cheval.

Le taoïste yang, le Tigre ou le Singe, est capable de créer une base familiale, solide et prospère, avec la confucéenne yin, le Buffle ou la Chèvre.

Pour le taoïste yin, le Serpent ou le Sanglier, il est plus difficile de trouver la compagne qui pourrait créer un foyer épanoui. La plus proche de lui peut être la bouddhiste yang, le Rat ou le Cheval.

 

 

 

 

 

 

Folie que de tenter la traversée du désert

Sans eau, ni nourriture en réserve.

Et folie plus grande encore que d’espérer survivre en société

Sans chaleur, ni amour familial.

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