Sixième Pas II

 

Quand on détient les clés de la compréhension de la nature spécifique de quelqu’un en fonction de son horoscope, on peut prédire les ingrédients qu’il est nécessaire d’importer pour instaurer, renforcer et protéger l’équilibre de sa famille.

Par exemple, un jeune homme, qui est du signe du Lapin, autrement dit qui appartient au groupe bouddhiste, veut créer une famille. Sa particularité est de posséder une nature introvertie, assez fermée, prudente et attentive. Il a besoin d’un nid familial qui lui procure de chaleur, tendresse et attachement profond et il est prêt à réaliser toute la richesse et la douceur de ces sentiments. Dans ce cas, il doit chercher sa fiancée dans le groupe confucéen, donc la particularité est la protection et la tutelle. Et si le jeune homme est de nature yin - il doit chercher une fille yang : plus dynamique, décisive, sérieuse : le Dragon ou le Chien. Si les parents décident que la protection de la famille est déjà suffisante, grâce aux autres membres de la famille, le jeune homme a la possibilité de chercher une nature féminine, plus imprédictible, qui va rendre sa vie plus intéressante, plus variée. Dans ce dernier cas, il doit épouser une jeune fille du groupe taoïste, qui est se caractérise par sa liberté, sa spontanéité et sa créativité. La vie de cette couple sera remplie de mystères et de surprises. Mais dans les autres cas, l’union du bouddhiste et d’une taoïste peut entraîner la tension et l’incompréhension entre les époux ; en effet, les bouddhistes cherchent le calme et l’entente dans la famille.

Les confucéens sont très à l’aise avec les bouddhistes, mais aussi, ils les utilisent souvent, puisqu’ils peuvent prédire leurs actions et leurs réactions aux situations. L’union avec une femme taoïste peut être beaucoup plus enrichissante, car le confucéen est venu sur Terre pour dépasser les épreuves et les dangers, les situations difficiles et imprévisibles. Cette femme peut justement lui procurer à son gré, de plus, elle va enrichir sa vie avec sa sensibilité et sa richesse esthétique.

On peut donc dire que les bouddhistes et les confucéens sont plus concrets par nature, plus clairs dans leurs comportements, plus logiques dans leurs analyses.

Le troisième groupe, les taoïstes, n’aiment pas les barrières, évitent les chemins battus, guidés par la devise : «Ecoute bien les conseils pour ne jamais les suivre ». Pour eux, le monde imainaire est très étroitement lié au monde réel et devient un abri où ils peuvent disparaître en cas de difficulté ou de désagrément. Ils adorent les voyages, surtout dans les royaumes solitaires de la nature, où il n’y a âme qui vive. Mais, comme les tentations terrestres déchirent tout le monde, et qu’il est difficile de réaliser les plaisirs charnels seulement dans les rêves, le taoïste désireux de ressentir le fardeau des obligations sociales, peut épouser une confucéenne. C’est avec joie qu’elle se consacrera à dresser son époux et à limiter sa liberté. Mais si le taoïste veut se plonger dans l’atmosphère familiale des relations intenses, sans trop perdre son indépendance intérieure, sans provoquer des scènes dramatiques - il doit s’intéresser à la bouddhiste.

Dans chaque groupe, les signes yang ont une nature plus extravertie, les signes yin - une nature plus introvertie. Evidemment, il faut prendre en compte les autres aspects de la nature humaine dont on a déjà parlé.

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