Sommaire

Chaque enveloppe du corps énergétique extérieur est composée de fines couches énergétiques qui diffèrent selon leur qualité et qui se développent comme les anneaux d’un tronc d’arbre (voir le chapitre 10). Une grande partie de l’information que la personne acquiert se dépose dans différents secteurs des enveloppes, en fonction de son type d’activité, des conditions de son environnement, des prédispositions de sa nature.

Si la formation de ses couches se fait correctement, l’enveloppe devient plus élastique, stable, et elle peut coopérer harmonieusement avec d’autres parties du corps de l’individu, dont l’activité vitale est aussi conditionnée par la matrice énergo-informationnelle principale.

Pour mieux illustrer notre propos, nous prendrons l’exemple de la structure feuilletée de la première enveloppe qui se trouve immédiatement autour du corps physique et qui comporte quatorze couches différentes. Il faut préciser que l’épaisseur de ces différentes couches varie chez chaque personne en fonction des moments de la journée.

  1. Au-dessus de la surface de la peau, il y a une couche d’énergie protectrice qui rayonne et qui a 8 centimètres d’épaisseur.
  2. L’énergie du rayonnement de l’activité du foie et de la vésicule biliaire, colorée par une information émotionnelle donnée, a une épaisseur de près de 6 centimètres.
  3. La couche correspondant à l’activité des reins et de la vessie fait 5 centimètres.
  4. Bouillonnant de façon non constante sous la forme de petites fontaines d’énergie, la couche qui correspond au travail du cœur fait 3 à 6 centimètres.
  5. Brûlante, peu mobile, l’énergie de l’activité de la rate est de 7 centimètres.
  6. La couche légère, instable, liée au travail des poumons, est de 10 centimètres.
  7. L’énergie inerte, dense, manifestant l’activité du squelette, a une épaisseur de 15 centimètres.
  8. L’énergie coulante, dense de l’appareil des muscles et des ligaments, 15 à 20 centimètres.
  9. Le cerveau et le système nerveux - une couche de 25 centimètres.

10. La couche de l’énergie du système tactile et sensoriel, 20 centimètres.
11. La couche de l’énergie    du système de    l’odorat, 20 centimètres.
12. La couche de l’énergie    du système du    goût, 15 centimètres.
13. La couche de l’énergie    du système de    l’ouïe, 25 centimètres.
14. La couche de l’énergie    du système de    la vue, 30 à 35 centimètres.

L’espace intérieur de la première enveloppe se finit sur cette 14ème couche, en cédant la place à une membrane, dense, vibrante, constituée elle aussi de plusieurs couches, qui a 15 centimètres d’épaisseur.

Dans la deuxième enveloppe, la 1ère couche intérieure d’environ 40 centimètres d’épaisseur réalise l’information du sommeil et des rêves, puis il y a une couche d’énergie ouvrant les possibilités de l’information des processus plus complexes de la vision, qui s’étend sur 40 centimètres, etc.

Dans chacune de ces couches, à des niveaux différents, des petits tourbillons d’énergie tournent sur eux-mêmes, leur position est stable, mais le degré de leur pénétration est inconstant. Dans ces tourbillons, l’information venant aussi bien du dehors que de l’intérieur y est traitée, puis elle est répandue sur la couche énergétique donnée et elle la fait réagir, en provoquant aussi la réaction des autres couches la touchant.

La structure de ces tourbillons est très fragile, elle est vulnérable et plus exposée à l’influence néfaste des divers coups énergétiques. Une irruption énergétique dure peut en effet entraîner la disparition d’un petit tourbillon, et à sa place peut venir se fixer un bloc rigide d’énergie négative, arrivé de l’extérieur. Toute la couche commence alors à fonctionner différemment, en tentant fiévreusement de corriger la situation, ayant redistribué son activité à d’autres petits tourbillons, leur ayant confié des charges supplémentaires. Mais dans tous les cas, il n’est pas possible de compenser entièrement la perte du petit tourbillon, puisque chacun d’eux est unique par la structure de son essence énergo-informationnelle.

Il y a seulement une solution pour remédier complètement à cette situation, c’est de nettoyer la couche, d’enlever les échardes négatives, et d’activer le spectre de l’énergie donnée. Alors le petit tourbillon initial peut se récréer, puisque dans la membrane de l’enveloppe il y a toute l’information de la structure intérieure des couches nécessaire à sa reconstruction.

L’affaire est beaucoup plus sérieuse si la membrane de l’enveloppe est endommagée, si son motif informationnel est fortement abîmé ou broyé. Sa restitution relève de la membrane “définissante” qui conserve la spécificité de l’information sur toutes les membranes de son niveau (éthéré, astral, ou mental). Une fois nettoyée puis saturée avec une quantité nécessaire d’énergie et d’information, l’intégralité de la membrane peut être recréée, comme cet oiseau mythique, le Phœnix, qui renaît de ses cendres.

Les effets du coup qui a endommagé la membrane “définissante” sont éliminés par l’activité des flux d’énergie envoyés à partir des centres supérieurs et inférieurs du corps énergétique extérieur, et le motif informationnel est restauré avec le rayonnement de l’information de la membrane intérieure correspondante, cachée à l’intérieur du corps physique.

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