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Dans l’Univers, tout a un terme, tout a un début et une fin. Tout est unique et en même temps régulier, comme le mouvement d’un pendule.

Le genre de notions cachées sous les mots usuels de début et de fin qui n’attirent pratiquement jamais notre conscience, est néanmoins fondamental, universel et incroyablement profond par son sens.

Pour un organisme vivant, ces mots sont synonymes de la notion la plus importante, palpitante et terrible, qui embrasse une structure n’ayant pas de forme claire, une notion qui porte un nom bien pitoyable: la vie.

Dans le même registre, ce sont dans leur aspect concret la naissance et la mort, l’activité et le repos, le Yang et le Yin, le Soleil et la Lune de n’importe quelle forme de vie.

Chacun de ces deux commencements au fond de son essence cache une parcelle de l’autre commencement. La naissance est le début du chemin vers la mort, et la mort est la préparation d’une naissance. En apposant des synonymes abstraits aux représentants de ces deux commencements on peut dire que la naissance est le commencement Yang vers la mort (le chemin, symbole du mouvement, de l’activité), et la mort est le commencement Yin vers la naissance (la préparation, symbole de la pause, du repos).

On peut dire cela encore un peu plus laconiquement: la naissance est une impulsion vers la mort, la mort est une chute vers la naissance.

La notion d’impulsion sous-entend l’attribution à quelque phénomène ou objet, d’une quantité d’énergie dans une direction définie, et la notion de chute, c’est la privation pour quelque phénomène de la stabilité nécessaire à son maintien.

Une telle corrélation étroite des commencements extrêmes, s’engendrant et se dévorant l’un l’autre, est renforcée par deux catalyseurs qui soulignent, aiguisent encore plus l’essence des phénomènes principaux.

On peut appeler l’un d’eux l’élixir de vie, et les qualités qui le définissent se reflètent dans ce nom.

L’autre s’appelle la formule de la mort.

Dans l’introduction, nous avons approché la question de l’importance énergétique et informationnelle de ce catalyseur dans la formation des relations entre les diverses structures vivantes. Nous avons aussi examiné la spécificité de son influence sur l’équilibre intérieur de chacune des structures énergo-informationnelles.

L’élixir de vie est le fruit du commencement informationnel. Le mot même “élixir” sous-entend un contenu riche, mystérieux.

Naturellement son antagoniste, la formule de la mort est engendrée par le commencement énergétique. Le mot même de “formule” reflète quelque chose de morbide, de solidement figé, un schéma canonisé.

L’élixir de vie, en abrégé l’ÉV, est le principal composant de la spirale de la personnalité qui renforce tous les processus de l’organisme vivant. En faisant irruption dans le corps de l’embryon âgé de trois mois, l’ÉV stimule vivement l’organisation des processus de l’activité vitale, du support de vie, du développement de leurs corrélations.

La formule de la mort, en abrégé la FM, est une des manifestations les plus importantes du caillot de la protonature créant un besoin d’intégralité, de finitude, le besoin de retenir les manifestations du développement de l’organisme. Dès la conception, la FM sert à réguler l’intensité des processus intérieurs.

La particule de l’égrégore, la spirale de la personnalité, comme force motrice de son adaptation dans le monde matériel utilise le volume informationnel qu’elle contient. L’ÉV est utilisé pour réaliser l’un des buts principaux de la vie - la collecte de l’extrait d’énergie. Dans le cas présent, l’élixir de vie c’est de l’énergie molle empruntée à l’égrégore qui sert d’aimant pour attirer les particules de l’extrait d’énergie si nécessaire, mais si rare.

On peut dire que l’élixir de vie c’est de l’énergie informationnelle c’est- à-dire de l’énergie qui a commencé à se transformer en information.

Dans la structure énergétique de l’homme, l’ÉV se trouve dans le système des membranes extérieures qui délimitent les enveloppes du corps énergétique extérieur d’un même type. Il stimule leur croissance et leur développement, et en prélève l’extrait désiré.

En continuant cette analyse comparative, notons que le caillot de la protonature, particule du chaos énergétique, se manifeste par une activité énergétique, et pour collecter de l’information lourde, il utilise la FM, “secrétée” par le biotope - le Chaos, une information dure qui attire de l’information proche par ses qualités qui se transforme en énergie.

À partir de là, on peut définir la formule de la mort comme une information énergétique.

Dans la structure de l’homme, la FM se trouve dans tous les types de liquides du corps physique, parfaitement adaptés pour attirer l’information négative, dure, déformée de l’extérieur.

Il est évident que l’ÉV et la FM sont des manifestations de structures globales antagonistes proches par leurs tâches.

Concrètement cela s’exprime à travers la monade de renaissances (illustration 12-1a), où les deux manifestations agissent comme force motrice de la coopération des commencements principaux, ou si l’on transfère sur un plan cette coopération au sein de la monade, cela s’exprime sous forme de spirale ou encore sous la forme d’une onde qui a une structure enrichie (illustration 12-1b).

Naturellement l’ÉV est présent non seulement dans la spirale de la personnalité des gens, mais aussi dans les objets de la nature, du monde matériel (les pierres, les plantes, les animaux, les planètes, les étoiles).

Si les relations entre les objets les plus divers sont bienveillantes, il y a alors un échange mutuel d’une partie de l’élixir de vie. Pour la compréhension humaine, le caractère paradoxal, inhabituel, d’un tel échange, en tant que phénomène, réside dans le fait que plus nous donnons de ce qui est appelé de la “chaleur de l’âme”, plus il nous en restera.

Et pendant que l’homme ou tout autre être vivant, se sent bien intérieurement, une grande partie de sa matrice énergo-informationnelle est recouverte par un nuage d’ÉV, un nectar capable d’enrichir la structure énergétique des amis.

Une caractéristique analogue est applicable à la FM. Si l’homme ne se sent pas bien, s’il a mal, s’il a peur, alors une partie de plus en plus grande de sa matrice va être imprégnée par la FM, transformant l’énergie et l’information de son organisme en poison pour effrayer ses ennemis.

Tout ce qui est vivant autour de nous change constamment en fonction du rapport intérieur de cet élixir et de la formule, qui à la façon de deux liquides qui ne se mélangent pas mais s’évincent l’un l’autre et interagissent dans une dépendance inversement proportionnelle. Selon la situation, dès que l’influence de l’un d’eux s’accroît dans la structure commune, le contenu de l’autre diminue.

Par exemple, vous rencontrez une bonne connaissance, peut-être même un ami que vous n’avez pas vu depuis longtemps.

La joie, les larmes de l’affection, l’étreinte, une poignée de main solide, un regard attentif pour analyser ce qui a changé chez lui, mais non, il n’a pas changé, ses traits de visage sont restés les mêmes, seulement un peu plus flous à cause des larmes.

Les souvenirs de tous les bons moments passés ensemble, les ondes de chaleur de l’âme venant de l’intérieur remplissent tellement la nature que tout le monde semble éprouver les mêmes sentiments.

L’élixir de vie vous a rempli, les flots de son activité circulent en vous deux, il se répand tout autour, en rendant le monde alentour plus clair, plus joyeux, plus propre.

Vous marchez ensemble dans la rue, parlez, vous vous sentez bien et de bonne humeur.

Naturellement vous pardonnez aux gens le fait qu’ils ne fassent pas attention à vous. Vous êtes absorbés par la conversation et les souvenirs.

Au carrefour, quand vous regardez avec un sourire les automobiles et traversez la rue avec cette légèreté momentanée, il se trouve que vous avez empêché quelque conducteur impatient de franchir le carrefour.

Crissement de freins, le pare-chocs de la voiture touche presque votre hanche.

Le conducteur saute de la voiture, avec un mélange de frayeur et de fureur en proportions égales, avec de petits mots et pas si petits que ça, il déverse une tinette d’opinions de choix sur vos personnes, accompagnant cela par des gestes éloquents. Vous êtes tétanisé, intérieurement confus ce qui lui permet de clore avec succès sa tirade virulente.

Vous comprenez, qu’il a en partie raison, et vous vous sentez déjà obligé vis-à-vis de lui d’un peu de votre vie, mais sa façon d’expliquer les choses a touché douloureusement votre amour-propre et vous force bien sûr à le “remercier” de la même manière.

Maintenant les larmes de l’affection se sont évaporées et ont cédé la place à des éclairs dirigés vers l’ennemi.

Le monde autour de vous, y compris votre monde intérieur, soudain ne gazouille plus avec des mots attendris, mais s’appuie par ses vibrations avec tension et dureté contre vos côtes, votre poitrine, votre dos, et provoque chez vous des mots et des gestes grossiers.

Votre instinct de survie a repeint votre vision du monde environnant avec des couleurs définies, précises, privées de demi-tons, dans une dominante sombre.

C’est une des manifestations de la FM qui remplace à l’intérieur de vous la forme de l’expression de l’ÉV, prédominante jusque-là.

La force de la manifestation de l’instinct de survie est directement proportionnelle au contenu de la FM dans votre corps à ce moment donné.

La concentration de l’ÉV et de l’instinct de reproduction, de la continuité du genre, se trouve dans cette même dépendance.

Ainsi l’échelle de l’intensité de l’élixir de vie dirigé vers l’individu qui vous intéresse, de ce point de vue, passe par différents stades : cela va du désir initial sexuel léger, puis stable, ensuite dominant, oppressant, qui se transforme ensuite en passion, après cela en état amoureux et, pour finir en un amour ardent qui recouvre tout et tous autour.

Les relations avec les parents renforcent le caillot de la protonature et servent de stimulateur à l’activité de la FM personnelle.

Les relations avec les enfants, votre sentiment parental, activent la spirale de la personnalité et stimule l’activité des manifestations de l’ÉV.

Qu’est-ce qui est plus précieux pour nous? Ce qui est exigé pour notre développement ? Ce qui est justifié par l’aspiration à réaliser notre but de vie ?

Nous voulons poursuivre notre chemin de vie avec plus de résultats, sans lourdeur, sans poursuite de faux idéaux.

Nous voulons qu’à l’intérieur de notre matrice énergo- informationnelle tout soit aide, et non obstacle.

Alors que développer en soi-même? Quelles qualités ?

Quelle attitude adopter vis-à-vis de l’élixir de vie et de la formule de la mort?

Qu’encourager et que réprimer puisqu’ils ne peuvent pas se développer dans toute leur plénitude l’un à côté de l’autre, mais aspirent à saisir et à serrer la gorge de leur associé jusqu’à ce que mort s’en suive ?

Nous avons analysé déjà l’essence et la nécessité de la spirale de la personnalité et du caillot de la protonature.

La force du caillot est utile tant que nous sommes sur la Terre, mais il est impossible de l’emporter plus loin avec nous. Tout ce que nous pouvons faire c’est de nous soucier de son utilisation et de protéger ce costume avec attention.

La spirale, au contraire, assimile tous les acquis, pour les emporter et les utiliser dans les possibilités offertes de vies suivantes.

On peut dire que la force du caillot assure la béatitude sur Terre mais seulement pendant cette vie, et que la force de la spirale assure une vie sans repos sur Terre ainsi que la justification du sens de l’existence pendant la période égrégorienne.

C’est la raison pour laquelle le développement de soi est possible dans n’importe quelle direction et qu’il est lié à des actions concrètes.

L’action la plus répandue, que personne n’évite, c’est “d’emprunter” de l’ÉV et de la FM au cours des relations avec le monde environnant.

Dans la préface de ce livre, nous avons fait un peu connaissance avec la composition de la formule de la mort dans plusieurs de ses manifestations et nous avons compris qu’il nous était impossible de nous délivrer de cette accumulation, quel qu’en soit notre désir.

La spirale de la personnalité est remontée à l’instar d’une montre, et elle va se charger d’impulsions d’ÉV reçues de l’extérieur. Plus le contact est actif, plus le temps de l’absorption de la charge est grand, plus grande est la quantité d’extrait d’énergie acquise, plus la personnalité de l’homme se manifeste clairement.

Rappelez-vous par exemple le tableau d’anthologie de Karl Brullov “La cueilleuse de raisin”, où une jeune fille d’apparence typique pour un Karl Brullov, élégamment penchée, tente d’arracher une grappe de raisin lumineuse et juteuse, en jetant malicieusement un coup d’œil dans notre direction.

En regardant cette scène idyllique, s’il vous vient des idées du type : “Ah se trouver maintenant au milieu de cette vigne et goûter une grappe, et une autre...”, “Quel bon raisin sûrement mûr à point...”, “Ah, si je rencontrais maintenant cette appétissante belle fille, et hop.”, “Voyez vous ça, quelle effrontée, quel regard léger.”, alors probablement à ce moment-là votre personnalité est en train de dormir ou elle est partie faire une promenade, et a laissé sa copine - la protonature vous surveiller.

Si, à la vue de cette même scène italienne, un feu d’artifice d’émotions se met à tourbillonner en vous: “Ah!.” (clap, clap, clap fait le bout de vos lèvres.) “Oh!.” (clap, clap.) “Quelle beauté!.” (et vos yeux de cligner.) “Ça alors, ça, c’est quelque chose!”, “Je n’ai plus de mots!”, “Totalement émerveillé !.”, alors, certes, tout est en ordre, votre personnalité est là bien à vous et veille sur votre chasteté, sans fermer l’œil.

Le caillot de la protonature est intéressé par la consommation de la FM. Plus il l’a assimilée en grande quantité, et en qualité concentrée, plus l’organisation du corps physique du consommateur est développée.

Rappelez-vous la période du Jurassique lors du développement de la vie sur la Terre - l’époque des dinosaures.

Les herbivores sont lourdauds, volumineux, lents, les impulsions de leur système nerveux organisent mal la structure de leur cerveau.

Les carnassiers sont rapides, légers, armés, leur structure mentale est plus organisée.

Ô de quelle manière gracieuse, silencieuse et précipitée le tigre se déplace-t-il !

Comme il est beau ! Comparez-le à un éléphant.

On ne dit pas sans raison: “Tu marches comme un éléphant”, “Tu es maladroit comme un éléphant dans un magasin de porcelaine”. “Quelle trompe stupide, quel ventre énorme !”

Mais en fait, nos critères d’estimation sont injustes et subjectifs. Nous louons ce que nous souhaiterions posséder. Nos exigences rapaces nous forcent à admirer l’allure du tigre (lorsqu’il se rapproche à pas de loup de sa proie). Nous voulons aussi nous approcher à pas de loup de notre victime, et enfoncer nos crocs dans son cou fébrile. Ce n’est pas sans raison que les films d’horreur sont extraordinairement populaires. Ils assouvissent en effet dans une certaine mesure, notre attrait pour la violence qui nous possède. Combien aimerions-nous être forts, cruels, plongeant tous les autres dans la terreur et, simultanément, dans le tremblement d’une peur bleue !

Peut-être le chevreuil, le zèbre ou l’antilope admirent-ils et jouissent-ils aussi de la rapidité, de la puissance, de la perfection du corps du lion qui les rattrape ? - “Ah, cette queue avec sa touffe ! Quel charme ! ! !”

Alors qui est plus beau du tigre ou de l’éléphant?

Votre vitesse à choisir ainsi que la quantité et la qualité de vos doutes peuvent vous servir de critères pour estimer votre organisation physique, et peuvent vous expliquer (en secret !), qui vous êtes malgré tout - du carnassier ou de la victime.

Dans lequel de ces deux groupes voudriez-vous entrer ?

Cela vous indiquera votre degré de dépendance vis-à-vis du caillot de la protonature. Cela montrera que cette partie de vous qui appartient maintenant au Chaos, partira dans le Chaos, et disparaîtra à jamais pour votre personnalité, mais elle vous permet de vous comparer, malgré les pertes, aux autres phénomènes du monde environnant.

Il nous reste à ajouter que chez les victimes c’est la manifestation de la personnalité qui prédomine, et chez les carnassiers c’est la protonature.

Cela signifie que la partie qui vous domine la plus grande partie de votre vie, se balade en liberté, en arrachant les petits morceaux les plus friands des manifestations de la vie.

Chacun de nous désire avec avidité saisir les vibrations de l’élixir de vie émises par ceux qui nous entourent. Tous nos radars intérieurs scrutent le fond extérieur. Ces rayonnements se manifestent le plus clairement, le plus généreusement dans les jeunes organismes. La fleur s’ouvre et pulse en appelant, en annonçant la plénitude du jus de la vie, sa mission de procréation, le fait qu’elle est prête à partager le plaisir de l’acte doux avec un autre organisme capable de l’entendre et d’y réagir.

La jeunesse du corps humain, qui a trouvé une incarnation parfaite dans l’attirance, dans la santé, dans la joie de vivre d’une jeune fille, attire les regards des hommes. Et cela ne dépend pas de combien ils sont préoccupés par leurs problèmes, combien ils sont accablés par la charge des années vécues, combien ils sont désenchantés par la vie, combien de problèmes familiaux les ont dégrisé et ont dispersé leurs mirages romantiques.

Tout de même quelle impudence que cet aspect attrayant de la jeunesse qui crie ce que chaque passant est tout simplement obligé de noter, et qui l’oblige à faire le maximum d’efforts pour s’emparer de ce charme, comme un aimant qui attire la nature légère des hommes, comme une rafale de vent qui égare la flèche de la girouette de la direction des pensées justes vers des espoirs légers, impudiques et inféconds !

Nous cueillons une fleur qui a attiré notre attention, dans l’espoir de garder sa beauté attrayante à côté de nous ne serait-ce qu’un peu plus longtemps. Mais la plante n’a pas du tout exprimé son essence dans ce beau bouton pour cela. Elle comptait sur un enrichissement mutuel qui n’occasionnerait pas de douleur. Et au moment de l’attentat contre l’intégralité de sa structure, l’élixir de vie dans la plante se volatilise, supplanté par la peur et la douleur exprimées par le poison de la formule de la mort. La fleur est devenue porteuse du désenchantement amer de l’espoir non réalisé de la plante, elle est devenue un concentré de FM.

La matrice humaine réagit tout de suite à cela, en changeant son rapport (sa conscience) à cette fleur. L’enthousiasme cède progressivement la place à l’avidité, à la déception et à la froideur selon le degré de pénétration de

l’information de la FM dans les corrélations de la personnalité et de la protonature de l’organisme.

À cause de son obstination, de son esprit buté, de la rigidité de sa pensée, l’homme rapporte tout de même la fleur chez lui, la met dans un vase avec de l’eau pour prolonger son agonie, mais il n’est plus possible de recréer le sentiment de ravissement éprouvé au contact de la fleur vivante, heureuse dans sa sensation de jeunesse, répandant autour d’elle les fluides de la beauté, de la tendresse, de l’amour, c’est-à-dire l’élixir de vie.

Si on relit encore une fois le paragraphe précédent, en remplaçant la notion de “fleur” par la notion de “jeune, confiante, attendant le bonheur et croyant à son étoile”, on peut reconnaître l’histoire de chaque être naïf, clair, tendre, dont le nom est “jeune fille”.

Si nous voulons garder la possibilité de nous réjouir ensemble avec une fleur heureuse, la possibilité de jouir du bonheur de la vie avec le charme de la jeunesse, il faut se pénétrer avec attention du sens de l’apparition au monde de ce miracle, et en aucun cas empêcher la réalisation de son but de vie, et ne pas rayer d’un seul coup son espoir.

 

 

Nous vous laissons méditer sur ce que venez de lire, analyser ce que vous avez compris et pour vous aider nous joignons un tableau général des paramètres de l’ÉV et de la FM ainsi qu’une illustration qui figure leur réunification (illustration 12-2).

 

 

 

 

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