Les racines génétiques

Transcription du seminaire de
Victor et Marina Zalojnov
24-25 janvier 1998
Paris

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Liaisons généalogiques.


Il y a des moments dans la vie de chacun pour s’intéresser à la vie de nos ancêtres, pour explorer et imaginer en méditant sur les liaisons génétiques, nos racines qui se plongent dans l’histoire de la famille.
On commence à chercher des traits communs entre des caractères et également dans l’apparence, qui correspondent aux qualités clairement manifestées parmi nos proches et qui se reflètent visiblement.

Qui sommes nous ?

Quelles facettes de notre nature se sont-elles déjà manifestées dans l’histoire sociale ou familiale ? 

De telles questions émergent de temps en temps dans notre conscience. Au début cette recherche peut paraître assez simple jusqu’au moment quand en se plongeant en profondeur dans nos explorations, on aborde des questions sans réponses précises, des situations et des faits inexplicables, des coïncidences bizarres dans le caractère des gens, des destins familiaux qui se sont réalisés dans un contexte social différent mais avec une constance impressionnante.

 

 

Au final, on comprend que notre conscience est incapable de saisir toute la profondeur et la signification des rapports humains. Nous avons déjà présenté notre opinion sur l’interaction de la personnalité et de la protonature au cours des stages et dans nos livres.


 

Tout ce qui vie sur la terre se forme, se réalise grâce à l’activité de l’égrégore qui maîtrise la matérialisation des alliages divers de l’information avec l’énergie. Dans ce processus le rôle  important est joué par l’héritage informationnel de l’expérience des ancêtres. Cet expérience est inscrite dans chaque matrice énergo-informationnelle qui s’apprête à commencer son développement dès la conception.
La partie génétique des relations informationnelles s’appuie sur la fusion de l’information et de l’énergie du passé, aux cours des expérimentations réalisées par la nature afin de garder l’expérience génétique et sociale des ancêtres.

L ’ i n f o r m a t i o n acquise de nos parents doit rester bien conservée et prête à son développement ultérieur, et pour l’assurer elle est emballée dans une couche énergétique. Nos parents sacrifient pour nous une partie de leur énergie personnelle, de leurs forces vitales et de leur santé. Pourquoi ? Il est peu naturel de donner une partie de soi-même à un être inconnu, qui va s’appeler notre descendant et qui sera notre enfant car il porte une partie de notre nature.

Nous sommes guidés par un instinct de reproduction, l’un des principaux moyens de coordination des gens par les structures énergétiques et qui reste également une variété de l’instinct de conservation de notre protonature. Tout au long de la vie encode en soi la multitude d’informations qui se dépose dans nos cellules sexuelles et reste inutilisée. Chaque mois une femme crée un ovule qui possède son code génétique et reste souvent infécond. Et un homme produit des milliers des spermatozoïdes
quotidiennement! Chacun d’eux est le portrait craché des qualités le plus fortes de la nature de son père.

En même temps nous subissons les manifestations des résonances informationnelles des protonatures de nos ancêtres jusqu’aux sixièmes, septièmes générations, ce qui provoque des variations de l’ensemble des caractéristiques surgissant dans la prochaine génération. La diversité de la production des probabilités, calculées par la nature et conservées dans chaque spermatozoïde est beaucoup plus élevée que leur réalisation dans la réalité.

Nous avons tous un père et une mère, personne n’apparaît à partir de l’air, nos parents ont leurs propres parents qui étaient nés de leurs pères et leurs mères.
Supposons que chaque génération donne la vie à sa progéniture dans 25 ans (en réalité la période est plus courte) dans ce cas dans 100 ans nous aurions quatre générations. En des millions d’années passent des milliards des gens et chacun a constitué une partie de la pyramide au sommet duquel nous sommes. Ces racines s’éloignent dans le passé lointain. Quelque part dans le passé nos liaisons génétiques s’entremêlent avec celles des autres et finalement on peut appeler tous les gens vivant sur Terre nos cousins et cousines.

Si on prend en compte l’idée de la réincarnation, la base des plusieurs religions qui affirme que chacun de nous renaît sur Terre plusieurs fois, on peut dire que nous avons déjà été notre ancêtre. A partir de ces conclusions il y a des questions qui restent sans réponses.

Comment cela arrive-t-il et pourquoi?

Qui a créé ce mécanisme et qui continue de le gérer?

Si on analyse la manifestation de l’information réalisée dans la pyramide des liaisons génétiques, on va remarquer que nous possédons des liaisons positives (+) et négatives (-).
Les chaînons positifs nous enrichissent, ils nous apportent l’information de l’immunité physiologique et de la stabilité psychique. Les chaînons négatifs situés dans l’une des branches généalogique du passé nous utilisent, en absorbant nos forces vitales.

Ceux qui ressentent des relations avec des ancêtres peuvent remarquer le caractère insolite de ces manifestations qui rentrent dans le canevas des événements de la vie quotidienne. Il arrive souvent qu’on prenne cette information pendant le sommeil, quand la conscience est détendue et prête à réagir aux faits irrationnels. On peut rêver d’êtres et d’actions fantasmagoriques sans rapport avec notre vie réelle. Ces images sont déformées par notre cerveau qui essaie en vain d’assimiler cette information irrationnelle dans les cadres limités de notre conscience.

On rêve souvent de nos parents, de gens inconnus, d’édifices qui nous rappellent quelque chose ou avec lesquels on ressent un lien. Nous prenons cette information, ces messages que nos ancêtres font remonter à la surface et qui ont une grande importance pour nous aussi bien que pour les expéditeurs.

L’art du déchiffrage des rêves est très important pour la conservation et renforcement des liaisons génétiques car il donne la chance de se préparer aux sérieux ébranlements qui peuvent secouer ou détruire nos liaisons. 
Dans la pratique du travail énergétique on trouve des possibilités de détecter des liaisons, d’en renforcer les positives et neutraliser les négatives.
L’ouverture, la réalisation et l’activité des liaisons génétiques dépendent beaucoup de la force de la matrice du corps énergétique.

Si la matrice est riche informationnellement et universelle dans ses possibilités sociales, c’est à dire plus forte que les structures des ancêtres, elle devient un aimant qui attire l’énergie et l’information des racines génétiques. C’est un phénomène très répandu dans la nature – l’arbre doit être plus fort dans son potentiel de développement du tronc et du feuillage que dans celui de ses racines, car cela permet d’absorber plus de forces vitales, en les utilisant ensuite pour l’ouverture de l’information prioritaire.

Le cas contraire existe aussi dans la consommation de l’énergie : les racines, à cause des conditions climatiques ou génétiques, devient plus fortes que les autres parties de l’arbre et elles creusent le sol profondément en aspirant les ressources énergétiques de l’arbre.
Dans ce cas quelle sorte de l’arbre aura-t-on ? Plutôt une plante faible et malformée, avec une quantité minimale des branches, pratiquement sans feuilles et d’une petite taille, ressemblant au cactus, en comparaison avec les autres arbres de cette variété.

Si le corps énergétique de l’homme ne se développe pas, peut être à cause du manque des prémisses dans l’information personnelle, la force des ancêtres va augmenter vertigineusement et affaiblir par potentiel les capacités de la nature.
Quand la pyramide génétique est très puissante, elle utilise les possibilités statiques radicales de cette personne, en lui faisant endosser des préoccupations pour ses vieux parents affaiblis, des difficultés à trouver des places dignes pour ses enfants dans la société, et après cela, le besoin de trouver du temps pour l’éducation des petits enfants car leurs parents s’investissent dans la réalisation personnelle et la carrière.

La vie est sacrifiée au bonheur des proches qui la consomment avec un grand plaisir et sans aucun remords et sans idée de gratitude.

La priorité de notre nature et de la protonature réside dans la création commune du conglomérat de la matrice, pourvue de la force et la capacité d’accumuler l’énergie en grande quantité.
Nous devons être forts. En renforçant notre canal du haut et du bas nous formons une structure énergétique forte et mobile pour que nous puissions absorber l’information ainsi que nos ressources énergétiques des racines. On doit rester forts et mobiles intérieurement pour être capable, au cours de la vie, de dépenser la quantité gigantesque d’énergie nécessaire pour dépasser les obstacles, tout en gardant un peu de force pour développer NOS PROPRES capacités et talents.

En dehors de nos capacités, positives aussi bien que négatives, héritées de nos ancêtres, on possède des liaisons  familiales directes et indirectes qui nous influencent fortement.

Les liaisons directes sont nos propres enfants, des héritiers de notre pyramide génétique personnelle qui eux-mêmes sont constamment en résonance énergétique et sociale avec ses parties cachées et secrètes.

Les liaisons indirectes - avec nos frères et sœurs, cousins et arrière-cousins produisent la division de notre pyramide génétique et sa désintégration.

Les particularités de nos parents, leurs manifestations génétiques qui sont déposées en nos frères et soeurs, nous influencent indirectement, en résonnant comme des vibrations, comme un écho. Il est possible que quelqu’un parmi nos frères et sœurs devienne plus fort énergétiquement. C’est avec dureté et exigence qu’il va concentrer sur lui-même l’attention des autres proches et des amis, en nous dépouillant d’une grande partie du spectre énergétique et en absorbant l’énergie des racines. Qui a le lien le plus fort avec les parents dans la famille ? Qui est le plus chouchouté par eux ? Pourquoi ?

Cette irrégularité dans les relations entre les parents et les enfants, et dans la distribution de l’attention et de l’amour parental crée une inégalité du développement de la matrice énergo-informationnelle. Celui qui a trouvé la clé vers les portes du cœur parental devient plus fort par rapport à ceux qui ont une nature moins flexible, ce qui affaiblit leur développement potentiel.
A notre époque moderne qui est caractérisée par l’isolement social et le développement de la communication virtuelle, certaines personnes, ne trouvent pas les forces et sont incapables de créer le prolongement de leur pyramide. Leurs forces vitales, qu’ils pourraient utiliser pour la pyramide sont accaparées par quelqu’un d’autre, le plus souvent c’est le frère ou la soeur.

Dans ce système de relation, dans ce monde d’entrelacement des destins, il n’y a pas de place pour l’altruisme ou le sacrifice de soi, et même si quelqu’un suit ces nobles principes - les autres gens autour, consciemment ou inconsciemment, utilisent tout le potentiel énergétique de cette personne sans se préoccuper de son état.
La personne forte énergétiquement va absorber l’énergie de ses proches, plus faibles, sans remords même si sa conscience s’oppose à ce qu’il le fasse. Le besoin d’un échange énergétique à son avantage est plus profond, dicté par la partie animale de la nature.

En analysant la pyramide génétique on s’aperçoit que les frères et soeurs créent leur propres alvéoles familiales en développant leurs propres parties pyramidales.

 

Nos cousins et cousines ont des liaisons avec les autres pyramides lesquelles ne sont pas liées avec la notre dans cette surface temporaire. Nos arrière-cousins sont encore plus éloignés de notre branche mais ils sont liés en profondeur à deux pyramides et ont des racines communes avec nous.

Ainsi il surgit de plus en plus des tensions entre les prochaines générations. Nous ne soupçonnons même pas les conflits qui alourdissent notre nature dans le combat avec nos cousins au cinquième degré pour les forces vitales. Cette tension nous influence très fort.

Pour posséder une réserve de l’énergie pour nos besoins de développement, pour garder la force interne dans les relations humaines les plus difficiles, il faut apprendre de se protéger contre la tension alourdissante venant de l’information concurrente entre nous et notre cousinage proche et éloigné, qui vit dans le même couche temporelle. 
C’est vrai, étant donnés nos intérêts personnels et la diversité des situations dans notre vie, nous sommes très éloignés les uns des autres, mais il y a des racines communes, des vibrations énergétiques qui par l’effet de résonance nous touchent à distance plus ou moins durement selon la tension, la fatigue, la passivité et le vieillissement du corps physique et énergétique.

Pour illustrer des relations énergétiques basées sur les liens parentaux, prenons l’exemple des arbres : on entre dans la forêt et on voit des arbres à peu près du même age avec des troncs de même épaisseur. Il arrive que deux arbres poussent des mêmes racines, leurs troncs ne seront alors jamais de l’épaisseur des autres. Chacun des deux essaie d’utiliser au maximum les racines et d’absorber la nourriture destinée à son frère mais les racines se partagent à égalité. Pour trois arbres l’image devient encore plus triste.

Imaginons un instant que chacun de nos ancêtres de douzième ou dix-huitième génération ait eu une progéniture qui se soit ensuite perpétuée jusqu’à notre époque. On est bien éloigné de la base de la  pyramide commune. Notre conflit devient suraigu.

Heureusement on n’a pas besoin de traîner derrière nous, dans nos liaisons énergétiques cette remorque des liaisons génétiques entrelacées. Périodiquement, au fur et à mesure du vieillissement et de l’atrophie des aspects généalogiques, qui se nivèlent et sont oppressés par d’autres, nouveaux et plus développés, la partie inerte de la pyramide se détache spontanément, en se dissipant dans la brume de l’oubli.
Il surgit de temps en temps dans l’histoire des relations familiales un personnage qui commence à jouer le rôle du héro biblique Noé, qui devient le père d’une nouvelle pyramide génétique. Cela produit le  ressourcement naturel et le renforcement des niveaux actifs de l’escalier généalogique.

Pourquoi prendre en compte l’énergie des relations parentales ? En quoi est-ce qu’on est concernés par des soucis et des difficultés qui touchent profondément notre nature mais n’influencent pas directement nos conditions de vie privée ?

En fait le spectre de l’énergie sociale est limité dans notre monde matériel. En entrant dans la vie l’homme dépense très vite ses réserves d’énergie personnelle pour des conflits relationnels.

Les difficultés informationnelles de plus en plus éloignées dans le temps et cachées dans les tréfonds de la nature humaine, dépassent les capacités d’enregistrement par la conscience humaine. Cette information utilise un spectre d’énergie de plus en plus léger qui dépasse des limites de perception des organes sensitifs.
Le plus vaste est la distance génétique entre des proches contemporains moins le conflit devient matériel et plus il est énergo-informationnel. Il agit plus durement et de manière incontrôlable sur la partie informationnelle de la matrice énergoinformationnelle.

Chacun de nous est entouré par des milliers de tensions de ce type qui pourraient nous rendre fous. Des catastrophes qui arrivent dans notre monde matériel : des guerres, des explosions, des cataclysmes sont comme une décharge de ces conflits.C’est un nettoyage massif, une élimination de « l’électricité statique » qui dérange le passage des signaux informationnels des égrégores divers vers leurs « administrés ». C’est suite à la décision des structures qui nous dirigent qu’arrive la destruction d’une des diverses parties de la pyramide génétique, surchargées par l’information ancienne et passive. Ceci se fait tout en
sauvegardant des liaisons jeunes et vitales.
La plupart des accidents mortels sont une élimination du chaînon faible et imparfait.Tout le monde meurt tôt ou tard, la mort naturelle ne détruit pas les liaisons génétiques. C’est un processus naturel pendant lequel les liaisons matérialisées deviennent énergoinformationnelles.  La mort soudaine, un décès avec la destruction complète et brusque des parties physiologiques du corps physique produit la rupture des relations avec le passé et ainsi la possibilité d’échange informationnel entre le présent et le passé s’éteint.

Voilà comment des structures supérieures détruisent la tension arrivée à son paroxysme. 

Avec un décès naturel les liaisons génétiques de la personne se transforment, et de liaisons bien ancrées socialement et guidées par le mental, le sens des obligations, le caractère, elles deviennent liaisons énergo-informationnelles de la sphère génétique.

Après un accident mortel le corps énergétique de la personne n’a pas de temps nécessaire pour la transformation, il explose comme un ballon et perd pour toujours toutes les liaisons qu’il avait avant avec les générations précédentes.

Pendant la vie nos relations avec nos ancêtres grandissent sur la base de l’énergie qu’on manipule dans les contacts avec d’autres individus : nos émotions, nos sentiments, nos pensées et actions.
En quittant ce cercle des contacts spécifiques au monde matériel, après la mort, les capacités d’interaction de la personne avec le monde extérieur se transforment en autre qualité, adaptée aux changements du corps subtil et aux capacités du milieu énergétique dans lequel il se plonge. Pendant l’année qui suit la mort de l’individu, les liaisons émotionnelles avec le monde des vivants sont gardées. Par exemple, le décédé apparaît à ses proches dans les rêves et se plaint qu’il a des chaussures qui lui serrent les pieds ou qu’il a  faim. Cela signifie qu’il faut effectuer un rituel de repas dédié à son âme ce qui existe dans la tradition russe, ou pour la tradition chrétienne, lui dédier un cierge, parce qu’il a besoin d’un soutien énergétique. Une année après la mort le corps énergétique extérieur se transforme et commence une autre étape dans ses relations avec le monde matériel. Il apparaît dans les rêves de ses proche sous une autre image : sans émotions, détaché et sage.

Quand l’enfant naît, ses parents lui transmettent les relations génétiques le plus actives et ils deviennent aussi une partie des racines de la pyramide génétique qui est le soutien de son sommet.

L’enfant unique obtient plus d’information et d’énergie génétique que les enfants de familles nombreuses. Ces derniers ne reçoivent pas la même quantité d’amour et d’attention parentale, ils essayent de compenser ce manque de douceur de la part des parents en créant des relations indirectes sensibles et attentives entre frères et soeurs. Les aînés jouent le rôle des parents pour les cadets, en sacrifiant leur enfance, ils partagent la douceur de la pureté de leurs âmes infantiles.

 La « course de relais » génétique provient de nos parents, mais la « résonance génétique » qui caractérise la manifestation de l’information du corps physique et de la nature provient de nos grands parents. Il arrive souvent que les enfants soient des portraits crachés de leurs grands parents car les derniers possèdent une force génétique plus  manifestée laquelle seréalise pleinement dans les petits enfants. On hérite de nos quatre grands parents les caractéristiques des natures le plus résistantes, et importantes pour la survie et les épreuves sur la
Terre.

Par conséquent les structures informationnelles les plus développées essaient d’explorer au maximum, de tester par des conditions terrestres les combinaisons le plus intéressantes de l’énergie et de l’information dans les cas d’union de la personnalité et de la protonature.

S’il y a plusieurs enfants et que les natures des grandsparents sont à peu prêt de même force, la nature de chaque enfant héritera d’un mélange différent des caractéristiques fortes. Si l’un des grands parents possède un spectre vaste et puissant de particularités intéressantes, ses caractéristiques peuvent dominer pour tous les petits enfants. Déjà à un jeune âge, le caractère de l’enfant ressemblera fortement à celui de son grand père. Les natures du reste des grands parents influencent l’enfant indirectement, en agissant à travers les particularités manifestées chez les parents de cet enfant. Elles viennent compléter les relations génétiques profondes et enrichissent l’image du caractère de leur petit fils, en comparaison avec le grand père dominant.

De cette manière, au travers de cette résonance on a une ressemblance avec la génération de nos grands parents alors que nos enfants ont une liaison très active avec nos parents. Cela ressemble au processus de tissage, où grâce au croisement des fils en longueur et en largeur on obtient un tissu plus résistant.

C’est une relation profonde qui transporte en soi l’information familiale karmique. Chaque personne hérite de ses grands parents de plus de problèmes karmiques que de ses parents, et le karma des grands
parents de nos grands parents est également très présent dans cet héritage alourdissant. On dit qu’on répond aux péchés jusqu’à septième génération et cette influence se réalise plus fortement en sautant une génération. Les enfants des pécheurs ne souffrent pas autant que leurs petits enfants. Les arrières  petits enfants ont un héritage génétique plus léger mais dans la génération qui suit cela résonne très urement et activement.

La mémoire génétique dicte souvent notre conduite, motivée par la dureté de l’information karmique héritée de nos grands parents. Il existe des gens chez qui les relations karmiques sont plus faibles que leurs liaisons directes avec leurs parents, dans ce cas la liaison génétique directe et la mémoire karmique font naître une contradiction qui cause une tension complexe dans la nature de la personne.
En conclusion on peut dire que nos parents et nos enfants sont sur un niveau différent de karma et de complexité de vie que nous. Les générations les plus proches pour nous sont les générations des grands pères et des petits enfants. Si on manque d’amour parental on trouvera l’équilibre en étant adoré par nos grands parents et en recevant l’amour qu’on n’a pas obtenu de nos parents.

Nous sommes des continuateurs sur la branche de l’histoire de la famille, des jumeaux de nos ancêtres (grand père ou grand mère) et cela tisse un fil supplémentaire qui amène la rapidité du passage de l’information à travers les générations, apporte la mobilité et la stabilité pour la pyramide génétique.

 

Passage à la pratique

 

Notre corps – c’est un tronc d’arbre avec des racines qui plongent profondément dans le sol. Quelle partie de notre corps peut être associée directement avec des racines ?

Ce sont nos organes sexuels qui comme un couloir énergomatériel nous relie à nos enfants et nos fesses qui nous unissent avec nos parents.

Les fesses ce sont des régénérateurs de l’énergie génétique accumulant son potentiel à travers des liaisons directes de la pyramide génétique entière.

En France les filles ont des fesses peu développées, physiologiquement cela signifie que sur l’étape actuelle du développement social la jeune génération perd/affaiblit ses liens avec ses parents.

La force sexuelle, la profondeur de l’union des actes physiologiques avec la richesse sensorielle de la réalisation sentimentale, sont intimement liés avec les racines génétiques.
Si nous n’avons pas des racines bien développées notre force s’éteint très vite. Les organes sexuels et les fesses sont liés réciproquement, comme les bols d’une balance : plus nous puisons activement l’énergie primaire et l’information de nos ancêtres, plus haut est notre potentiel. 

Si les racines sont absentes et nous sommes la base de la nouvelle pyramide – notre potentiel est basé seulement sur nos propres possibilités, sur la force de notre organisme et notre santé.

Le potentiel sexuel indique nos liaisons génétiques. La faiblesse de notre force vitale, l’impuissance précoce ne représente pas notre défaut mais plutôt la conséquence de l’absence du système radical dans notre pyramide génétique. Dans ce cas il faut chercher à se ressourcer dans les autres spectres de l’énergie mais pas dans la généalogie.

Les reins et les glandes surrénales jouent aussi un grand rôle.
Les reins sont une liaison sentimentale avec nos parents.

Les glandes surrénales sont une liaison émotionnelle avec nos enfants, ils offrent à l’enfant la douceur chaleur humaine si importante pour lui. Les organes sexuels donnent la vie à l’enfant mais les glandes surrénales le réchauffent.

Les reins sont disposés dans le corps différemment, le rein droit est plus haut que le gauche. Le rein droit est fortement lié à l’information psycho- énergétique maternelle, le gauche – avec la paternelle (c’est le cas pour les hommes comme pour les femmes). 
Beaucoup d’enfants vivent une période où ils préfèrent tout saisir ou faire avec la main gauche (des gauchers temporaires). C’est une période de manifestation de l’information psychique liée au côté paternel de la pyramide génétique. Certains restent pour toujours des gauchers ce qu’entraîne une éclosion riche des capacités créatives aussi bien qu’une augmentation de l’activité d’hémisphère droite du cerveau. On trouve beaucoup d’artistes illustres parmi les gauchers.
La partie paternelle des liaisons génétiques influence plutôt le développement de la personnalité, la partie maternelle – de la protonature.

Chez les hommes la partie droite est remplie par l’énergie yin. La domination de l’information génétique maternelle, qui se pose sur ce spectre d’énergie divise le corps de l’homme en deux parties contrastées. Le renforcement de la partie yin avec l’influence féminine et de la partie gauche yang avec l’influence yang paternelle donne aux hommes un déséquilibre énergétique au niveau psycho -physiologique de leur corps énergétique, qui se manifeste par des recherches créatives. On peut dire que l’home se trouve en permanence au centre de l’orage avec des foudres qui essaient de décharger la tension énergétique entre
deux polarités dans le corps et la nature.

La femme est plus équilibrée énergétiquement. Sur la partie droite, yang, du corps, le spectre énergétique est adouci par l’influence yin maternelle et la partie gauche, yin, du corps est activé par l’influence paternelle. Cela donne à la femme une plus grande résistance, l’équilibre et la possibilité de ne pas se préoccuper des arts car l’activité créative, artistique est la cause du déséquilibre, de la recherche de stabilité, de l’envie de décharger la tension intérieure. Chaque oeuvre d’art est le cri de la douleur ou de l’extase et c’est toujours la prédominance de l’un des spectres de l’énergie sur l’autre, la prédominance de
l’information sur l’énergie.
Que se passe-t-il si au cours de l’éducation on force l’enfant gaucher à travailler de la main droite ?
On le force à devenir moins artistique si c’est un garçon. Si c’est une fille, on l’harmonise à la condition qu’elle ait déjà pris/réalisé tout ce qui était nécessaire pour elle pendant le travail actif de l’hémisphère droite (quand on travaille avec la main gauche l’hémisphère droite est plus active). Si la rééducation est faite plus tôt, cela signifiera que la formation des communications de l’hémisphère droite s’arrêtera brusquement, dans ce cas cette partie du cerveau n’arrive pas à développer la créativité.

L’enfant devient trop logique, raisonnable, il n’aime pas combiner, chercher des nouveautés et des surprises, il n’aime pas les aventures.
Si on veut travailler avec la ligne maternelle de l’information génétique on doit se relier avec le rein droit. Ce rein est plus fort, il se trouve plus en haut et la qualité de l’énergie correspond plus à la fonction de cet organe.
Le rein gauche est plus affaibli parce qu’il se trouve plus en bas dans le ventre et accumule plus de saleté, de déchets physiologiques, les calculs.

En travaillant avec les reins au cours de la méditation on peut trouver le couloir de la liaison énergo-informationnelle avec nos parents.

Les zones suivantes sont aussi très importantes : le diaphragme et la zone des clavicules.

Le péricarde et le diaphragme, dont il fait partie, sont liés à nos grands pères et grands-mères. L’information génétique du deuxième niveau nous fournit la force et la stabilité de ces organes.

La membrane des clavicules est liée aux petits enfants. Si les épaules restent toujours sous l’activité musculaire, sont tendues consciemment, la dureté et la statique de l’information génétique de ce niveau va se réaliser dans des relations tendues avec nos petits enfants. Même si on n’a pas encore des enfants, c’est un signal de la tension entre nous et une future deuxième génération.

Le niveau suivant de la réalisation de l’information génétique sur les tissus de notre corps physique se fait par la langue et le nez
Le nez est lié aux ancêtres de troisième génération en arrière de notre pyramide, avec nos arrière grands parents.
La langue – avec la future génération des arrière petits enfants.

Notre activité dans ces relations dépend de la force de notre nasopharynx.
Pendant de la méditation si on travaille avec nos relations avec des générations passées ou futures il faut activer ces zones du corps physique en activant l’information du niveau cellulaire pour harmoniser et équilibrer notre futur et passé éloigné.
Il faut dire que certaines parties de notre corps portent l’information génétique.

Le système digestif est lié aux ancêtres et le système d’élimination – aux descendants.

Les cheveux et la pilosité du corps. Si la pilosité et la chevelure sont bien développées cela manifeste des racines génétiques très puissantes. Si la pilosité est faible on a une liaison faible dans la profondeur de la pyramide, aussi bien dans notre passé que dans notre futur. La personne se dégarnit, il est incapable de donner de la force vers le haut de la pyramide et incapable de puiser des forces du bas de la pyramide. Par exemple, des peuples du Caucase ont des racines génétiques très fortes, ils vénèrent leurs ancêtres et ont une forte pilosité du corps.

Les peuples africains, au contraire, sont très individualistes, ils n’apprécient que soi-même, comme la partie la plus importante de l’univers, leur réflexe d’autoprotection est bien développée. Ils vivent plutôt pour l’autoréalisation sans prêter beaucoup d’attention aux leurs enfants et parents. Ils ne possèdent presque pas de pilosité.

Question : Peut-on, pendant la méditation, se rencontrer soi-même comme son propre ancêtre ?

Réponse : Pratiquement non. La neutralisation des vieilles racines, des processus d’échange informationnels inactifs, la rupture et la destruction des racines se produisent très souvent. Il y a des familles qui gardent leur histoire familiale pendant des siècles, cela est gardé dans la mémoire mais en réalité ces branches se sont atrophiées et elles ne portent aucune information. Le travaille avec ses incarnations est possible mais pas avec ce système des racines génétiques.

S’il n’y a plus d’enfants la pyramide s’achève. Pour certaines pyramides cela peut être utile. S’il y a deux sommets et l’un d’eux s’écroule l’autre continue de grandir plus fortement et en stabilité. D’habitude des pyramides ont plusieurs sommets, des frères et des soeurs dans chaque génération ouvrent la possibilité de se modifier, tout en gardant la vitalité de ces sommets.

On a des petits modèles de la pyramide génétique dans notre cavité de la bouche. C’est une liaison matérialisée au travers des molaires qui ont plusieurs sommets.
Les canines – ce sont les dents de notre personnalité, elles n’ont qu’un seul sommet. On réalise l’information destinée à nos descendants quand on lie toutes nos quatre canines, comme quatre parties de notre nature, avec chaque molaire. Chacune d’elles unit dans sa structure informationnelle le total des qualités que notre organisme a préparé pour l’héritage à un seul descendant. La transmission complète de notre information s’arrêtera à la cinquième génération.

On a 16 molaires, sans compter les dents de sagesse. Les dents de sagesse représentent notre liaison supplémentaire avec la troisième génération. (16 personnes dans la cinquième génération).
En examinant l’état de nos dents on peut constater la force de l’information qui nous est transmise par nos ancêtres et préparée pour nos descendants.
La partie droite de la bouche est maternelle, gauche – paternelle, les dents de la mâchoire supérieure portent l’information du grand père, la mâchoire inférieure – celle de la grande mère.

 

Méditation sur les liaisons avec les ancêtres.

 

Début : Dans position du tailleur on active l’énergie de la cavité de la bouche (la langue, les dents, les gencives) en nous concentrant sur cette zone. En gardant notre attention sur les sensations de la force montante des vibrations dans les parties les plus cachées de la cavité, une autre partie de notre conscience se dirige vers nos mains.


Le déroulement : En montant nos mains vers la zone de la bouche, on unit les vibrations de l’activité des deux zones dans un ballon contrôlé par les mains.

En détendant les muscles du visage, de la gorge, des clavicules, de la cage thoracique, du diaphragme et du ventre on baisse l’énergie du ballon actif en le dirigeant doucement par l’oesophage dans l’estomac, en nourrissant les tissus de la matière.

Après étirons le ballon des deux côtés en écartant les mains pour remplir avec l’énergie le foie et la rate. Concentrons notre attention sur le point Min Men, qui se trouve entre les reins au niveau de la colonne vertébrale, en dirigeant l’activité énergétique des organes qui se trouvent sous le diaphragme dans le centre de l’énergie primaire (Min Men). Formons dans cette zone un ballon d’énergie épaisse et on tourne le dos aux vibrations de la musique. Cela déplace l’attention de la partie frontale du corps vers les sensations des vibrations sur notre peau au niveau du dos.

La zone de l’énergie primaire commence à absorber les vibrations externes, en les accumulant dans chaque cellule de notre corps.

Concentrons notre attention sur la résonance des tissus internes produite par les vagues sonores de la source de la musique, agrandissons la taille du ballon vibrant jusqu’ à ce qu’il grandisse et atteigne la taille du corps. Puis, en bas de ce ballon au niveau de la membrane périnéale on cherche le couloir de la sortie vers les racines génétiques, comme si on était une fleur qui à travers de sa tige ressent ses racines.
On s’allonge sur le côté droit, dos vers la musique, dans la position de l’embryon, en tirant un peu nos genoux vers la poitrine et on plonge notre attention qui s’éloigne en bas vers l’information de la pyramide génétique.

 

Méditation de la liaison avec des enfants,nos descendants.


Activons des reins, la vessie et des urètres, en concentrant notre attention sur les sensations physiologiques de nos tissus de la matière, réunissons ces zones dans le triangle activé.
Puis au niveau du ventre le milieu du triangle devient la base de la pyramide de l’activité physique et énergétique. L’autre partie de notre attention active des sensations au niveau des mains
en formant le ballon devant le nombril.
On s’assoie sur les genoux et les talons, face à la musique.

Plongeons l’énergie du ballon dans la zone du nombril, en réunissant des sensations énergétiques et acoustiques ; dans la zone de la vessie réunissons l’activité naturelle de l’angle du triangle avec l’énergie qui transperce le nombril.
Ecoutons nos sensations physiologiques et énergétiques obtenues dans le résultat de ce mélange et des résonances acoustiques.

On tire et on presse le ballon énergétique avec les mains dans la zone active du ventre, après cela, avec notre attention et à l’aide des mains on monte cette activation au niveau des reins.

Concentrons notre attention sur les sensations qui lient la vessie et les reins, on monte le ballon avec les mains jusqu’au niveau des seins. A ce niveau on presse et on tire l’énergie des reins, en
liant leur activation avec l’activation physiologique et énergétique de la zone de la poitrine. En réponse à ces actions surgit l’activation totale du triangle, on ressent la résonance énergétique
avec chaque mouvement des mains, pressant et tirant le ballon dans le ventre, à travers la poitrine.
Tirons l’énergie des reins et une fois encore réunissons l’énergie des mains dans un ballon en le descendant vers le nombril.

Répétons plusieurs fois le processus de l’activation de la base du triangle, pour atteindre la densité et la subtilité de la résonance dans toutes les parties des tissus.
En s’allongeant sur le côté gauche face aux vibrations de la musique nous concentrons l’attention sur la résonance acoustique des tissus du triangle avec une activation simultanée du nombril et de la poitrine. En détendant notre conscience et les tissus du corps de plus en plus plongeons-nous dans l’état de l’attention méditative et libérons l’énergie active du corps à travers le plexus solaire, formant le canal des liens énergétiques avec nos enfants.

 

Annexe

Technique chamanique de travaille avec les ancêtres
« Caresse du bébé »
stage du chamanisme solaire,janvier 2008 

 

1. Activez les auriculaires et les pouces. Décontractez le corps et les 4 doigts de plus en plus. L’activation de ces doigts donne la possibilité de concrétiser en peu plus les spectres d’énergie que nous renforçons dans notre corps. Ce processus de décontraction active notre centre informationnel du haut et l’énergie du bas. C’est-à-dire qu’autour du corps nous commençons à créer une carapace, une couche énergétique qui devient plus manifestée grâce à l’activation des quatre doigts.

2. Continuons d’activer ces doigts. Chercher des sensations dans la première phalange puis la deuxième, la troisième.

3. Au cours de cette activation prenez le ballon énergétique seulement avec quatre doigts activés, réunissez énergétiquement les auriculaires et les pouces, laissez les autres doigts de coté, en dehors de votre attention. Bougez doucement cette énergie afin d’unir des sensations des doigts avec celles des mains, puis avec celles des bras et des avant-bras puis avec la poitrine. Décontractez les bras. Continuez ce mouvement pendant que je vous explique ce que l’on doit faire.

4. C’est une technique chamanique. Dans notre corps il y a des traces que nous ont laissé nos parents : la conception a été faite grâce à la participation de deux personnes. Le coté gauche de notre corps est lié avec notre mère, le coté droit - avec notre père. Cherchons les liaisons énergétiques entre les mains et en  même temps activons des liaisons avec les aisselles gauche et droite en passant à travers les bras. Concentrez votre attention sur le mouvement de l’énergie dans les bras et dans les aisselles.

Nos aisselles possèdent des trous énergétiques qui lient notre corps physique et énergétique avec ceux de nos ancêtres du côté maternel et paternel. L’activation des 4 doigts (pouces et auriculaires) liée aux trous des aisselles manifeste nos liaisons avec ces deux côté de notre nature.

 

Si vous préférez communiquer avec vos ancêtres du côté maternel (côté gauche) – posez la main gauche comme une assiette et la main droite au dessus, en liant l’énergie du pouce de la main droite avec l’auriculaire de la main gauche, et l’énergie de l’auriculaire de la main droite avec le pouce de la main gauche.

5. La main droite commence à tirer l’énergie à travers le bras, jusqu’à l’épaule de la main gauche, comme s’il y avait un petit bébé allongé / posé sur votre bras, et vous caressez son corps en commençant des pieds jusqu’à la tête et en revenant ensuite vers les pieds. Chaque fois que vous poussez l’énergie vers le coude, continuez d’activer les aisselles, nous poussons notre énergie dans ce trou de l’aisselle afin de réveiller des liaisons avec le côté maternel. (Cependant on ne doit pas amener notre ballon énergétique plus haut que l’épaule).

Cette activation ne crée pas de liaison par laquelle nos ancêtres peuvent utiliser, prendre nos forces.
C’est une activation de la liaison généalogique mais qui se manifeste uniquement de notre part .Nous pouvons communiquer ou ressentir l’influence de l’ancêtre sur notre corps énergétique dans le contact avec eux.

Analysez les sensations dans toutes les parties. Il reste des traces de l’information des situations, des soucis, des destins de nos ancêtres incrustés dans notre corps. Nous pouvons sentir cette information, trouver ses vibrations, ses tensions spécifiques que nous pouvons nettoyer plus tard, les renforcer ou les améliorer afin nous approprier totalement notre corps. Mémorisez les sensations.
Finissons ce mouvement.

Gardez les doigts actifs, reposez vous un peu pour donner plus de temps au corps pour se rendre compte des liaisons : des liaisons, dures, qui nous gênent, qui nous serrent, nous alourdissent ou au contraire qui optimisent quelques processus dans notre corps, notre esprit.Reposez-vous.


6. Commencez de travailler avec le côté paternel. La main droite posée au dessous de la main gauche. Prenons notre bébé sur la main droite.
Commençons à pousser l’énergie vers l’aisselle droite.
Analysez des sensations, l’état de votre système psychologique : tous les stress que nous avons eus pendant les contacts avec nos parents et grands-parents sont enregistrés en nous, on peut même trouver des soucis de notre père quand il était petit ,avec ses parents et grands parents ou d’autres générations plus éloignées dans le temps.
Faites le mouvement lentement, ne vous précipitez pas. Décontractez les épaules, ne tenez pas les mains très haut, trouvez une position vraiment confortable, réunissez l’énergie du bras avec le trou de l’aisselle.

Décontractez-vous, comparez les sensations avec celles que nous avons eu en travaillant avec le côté maternel. Finissez le travail et décontractez les bras.
Analysez les sensations dans le corps. Est-ce que c’était difficile ? Dans quelle partie du corps avez-vous ressenti le plus de sensations ?


Question : J’ai eu une activation des points LaoGong, du côté paternel, le canal du haut était actif.

Réponse : Cela signifie que vous avez une liaison très forte. Cela veut dire que vous acceptez ces liaisons avec votre nature, elles sont importantes et favorables pour vous, elles sont très bénéfiques
pour votre existence. Vous travaillez pleinement, vous n’avez pas eu beaucoup de conflits avec vos parents, c’était une vraie coexistence et un vrai soutien pour vous. C’est rare. Bravo, vous avez de la chance. Dans votre famille il y a une attention portée aux enfants, les parents ont essayé d’aider les enfants à trouver un chemin et à se renforcer.

S’il y a des difficultés au niveau du cou et de la membranes des clavicules cela signifie que du côté maternel les parents, les grands parents utilisaient très souvent la force des enfants pour leur propre bénéfice, ils vous soutiraient de l’énergie. Ils essayaient de rester sur vos épaules.


Question : Du côté maternel j’ai vu un incendie, un feu dans le sous-sol, ce n’était pas désagréable mais j’ai quand-même essayé d’éteindre ce feu avec de l’eau. Pourquoi, je ne sais pas…

Réponse : Si tu vois des flammes au dessous ou à côté de toi cela signifie qu’il y a chez ta maman beaucoup de tension et de soucis causés par l’envie de t’aider à changer ton destin. Même si tu essaies de les éteindre, la personne ne va pas comprendre pourquoi tu fais ça, car elle essaye de « réchauffer » ta vie, de te donner la possibilité de vivre une vie plus facile…elle veut t’aider, mais soudain tu éteins tout, quelle ingratitude ! C’est un bon signe mais il est inutile de faire quelque chose, cela peut durer éternellement.


Question  : Du côté paternel j’ai eu une tension, un picotement dans le foie.
Réponse  : On peut ressentir une douleur même beaucoup plus forte que ce que tu as eu. Dans ta nature du côté paternel il y a beaucoup de rage. Les gens de plusieurs générations explosaient de rage très facilement, de temps en temps avec des insultes, et ces traces restent dans ton corps. Cela signifie que tu peut être parfois aussi dans le même état.


Question   : Du côté paternel, quand j’ai poussé l’énergie il y avait de la tension dans le point Min Men.
Réponse  : Entre toi et ton père il y a un blocage, une rupture complète, dure. Il y a eu des situations dans la vie qui ont empêché tes parents ou peut être t’ont empêché toi d’avoir les liaisons avec eux. Soit c’est toi qui as volontairement fermé ta vie ou bien la coupure était de leur part. Cela a créé chez toi un malaise, des tensions psychologiques, des difficultés que tu gardes et caches à l’intérieur. Cette tension existe tout le temps chez toi et il n’y a pas de bonnes liaisons, bienveillantes, soit avec la partie de ton père, soit avec les ancêtre de ton père. Toutes les tensions, les parties affaiblies, les sensations désagréables que vous avez pendant de ce travail signifient qu’il a des plaies énergo-informationelles qui peuvent se réaliser ou qui se sont déjà réalisées au niveau matériel du corps.

 

Avec ce travail on peut guérir, nettoyer et après remplir les parties blessées de la nature avec notre énergie afin d’être un peu plus autosuffisant. S’il y a des douleurs il faut pousser l’énergie pour libérer le corps.

 

Question    : Et quand l’activation est immédiate avec une activation du point LaoGong, mais qui reste limitée ? Je n’ai pas senti beaucoup de choses dans le corps, plutôt autour de moi.
Réponse   : S’il n’y a pas des symptômes, de manifestations dans le corps : les parents n’ont pas laissé beaucoup des traces dans ton corps, soit ils étaient faibles énergétiquement par rapport à toi et tu étais déjà plus fort et capable de protéger ton corps de leurs influences, soit votre coexistence était douce et te donnait la possibilité d’être indépendant. Si le corps ne se manifeste pas pendant ce travail – depuis ta petite enfance tu te tenais à l’écart, autosuffisant. Tu savais que tu devais faire et même si les parents insistaient sur quelque chose, ils le faisaient en douceur, sans violence faite à ta nature..


Question     : Du côté paternel j’ai eu une douleur à l’oreille gauche pendant ce travail.
Réponse    : C’est un cas très intéressant. Les parties de ta famille du coté maternel, tes grands parents, n’était pas d’accord avec le choix de mari fait par leur fille. Il y’avait beaucoup de négativité par rapport à ton père. C’était un conflit familial interne.

 

Question      : Des douleurs du côté paternel au niveau du bras, de l’aisselle, du foie jusqu’à la vésicule biliaire. 
Réponse : Comme je l’ai déjà expliqué : les douleurs au niveau du foie signifient que les gens de la famille du coté paternel avaient une force de caractère assez dure, la « force de l’explosion ». Et leur descendance a toujours souffert à cause des scandales familiaux, à cause de cette hyper activation du système  psychologique. Cette information reste comme une blessure et tu dois beaucoup travailler avec elle. En plus, tu gardes également cette spécificité de caractère. Pour calmer cette partie de ton caractère et affaiblir la liaison de cette information ancienne, tu doit tourbillonner l’énergie pendant ce travail au niveau du bras et faire la sortir du foie, de la vésicule biliaire, de tout ton coté droit du ventre ; puis au moment où tu pousse l’énergie par le bras à l’intérieur, essaies d’attraper l’énergie dans le ventre et après de l’étirer du foie complètement, à travers ton bras. C’est comme si tu étirais tout le foie au dehors de ton corps par le bras. Puis tu pousses l’énergie et tu l’étires de nouveau et comme ça tu peux nettoyer ton corps de cette information, mais il faut que tu travailles pendant une certaine période.


Question       : Quelle conséquence cela peut-il avoir quand on a des ganglions enlevés au niveau des aisselles ? 
Réponse : Cela ne joue pas de rôle dans ce travail. Peut être qu’avant que des ganglions n’aient été enlevés, leur faiblesse a été provoquée par la crispation de la matière. S’il y a une faiblesse au niveau des ganglions de l’aisselle du côté maternel – votre mère a été méchante avec vous, intérieurement elle vous a fait beaucoup de mal parce quelle n’était pas d’accord avec une certaine partie de votre vie. Et presque volontairement elle vous blessait et cela a empêché vos tissus de la matière garder de une bonne santé. 

Avec cette technique, si on travaille de plus en plus souvent, on peut faire la révision de tous les niveaux de notre corps. Sans exception, tous les niveaux du corps sont liés avec cette information. Comme initialement on a été créé par un grand ovule et un spermatozoïde, il y a des liaisons dans tous notre corps, et c’est l’information que notre nature commence à réaliser. C’est la base sur laquelle on commence à se développer.

Avec cette technique nous nous plongeons vers le temps de notre conception et nous analysons un autre état, l’état de famille. C’est une technique facile et très intéressante. Elle nous donne beaucoup de santé physique et psychologique. Dans ce travail ne montez pas l’énergie vers l’épaule, restez au niveau de la moitié du bras, parce que quand nous montons vers l’épaule notre énergie nous empêche de sentir les liaisons et brûle tous les pistes généalogiques.

Les chamanes quand ils utilisaient cette technique, n’activaient pas énergétiquement les doigts. Le chaman prenait une assiette remplie d’eau et après cela il trempait dans l’eau ses quatre doigts (deux pouces et deux auriculaires) et les y gardait quelque temps pour sentir que cela nettoyait et liait son corps avec l’eau. Savez-vous que le chaman n’aime pas l’eau? Il ne lave pas son corps et évite l’eau comme un poison. S’il lave son corps il perd 80 % de ses capacités, c’est pourquoi les chamans sont toujours très « «parfumés ».

Donc, le chaman trempe les doigts dans l’assiette, cherche la connexion avec l’eau, puis il sort ses doigts et tout de suite il pose une main au dessus de l’autre en commençant à chanter, pour créer des vibrations qu’il pousse vers le coude. Il crée le corps du bébé avec des vibrations acoustiques, mais il fait ces mouvements plus lentement que nous en poussant les pulsations dans le bras avec sa main. Le rythme de son chant coïncide avec les pulsations de la main. Les chamans ont senti la rôle sacré de l’auriculaire et du pouce. Si le chaman touche quelqu’un avec ses auriculaires en frottant en peu – il partage avec cette personne son esprit, ses soucis ou il essaie de libérer cette personne  des soucis, des tensions psychiques et mentales.

Ce travail est considéré comme léger et spirituel pour le chaman. Il travaille aussi avec ses pouces, je peux décrire ici une autre technique, qui donne un signal au corps pour qu’il guérisse d’une maladie, surtout des maladies sexuelles, des maladies du ventre, des organes du ventres, des organes le plus yin : le chaman regarde la personne, il pose une main sur le front de la personne en poussant le front pour faire ressortir le cou, et avec le pouce de l’autre main, en chantant, il presse le creux sous le menton. Dans cette technique le chaman joue le rôle de la connexion avec la terre, la force terrestre, le monde des esprits qui lui donnent ses forces, et il pousse cette force au travers de son pouce. Je voulais comprendre pourquoi il pousse ce point, je crois qu’il essaie de toucher la base du cerveau mammifère ou plutôt la zone entre le cerveau mammifère et le cerveau reptilien. C’est comme un signal pour la guérison des maladies de cette personne. Si on appuie énergétiquement trois ou quatre fois et au bout de 4 séances la personne va avoir un meilleur appétit et peut commencer à prendre en peu de poids. 
Le chaman ne distinguait pas le côté yin ou yang du corps pour choisir le pouce, il y avait juste son côté favorable, plus fort, qui peut attirer plus d’énergie. S’il était droitier il travaillait avec le pouce droit. 

Le chaman qui utilisait la technique de « caresse du bébé » pouvait travailler avec son propre corps pour mieux se connaître et pour utiliser des liens forts avec ses ancêtres. Avec la même méthode il pouvait également travailler avec les autres: il prenait des objets appartenant à la personne avec qui il voulait travailler, ou avec la personne qui lui demandait de travailler avec ses ancêtres. Il posait cet objet sur sa main et il commençait à créer un « bébé » à partir de l’objet. Cela permettait au chaman de mieux comprendre les spécificités des liaisons généalogiques de cette personne, de l’ aider à les nettoyer en utilisant après cette information dans la danse.

 

Technique de l’activation et
du nettoyage du côté
maternel et paternel.

Stage «Chamanisme stellaire » été 2008


1) Activez les pavillons des oreilles, qui sont les organes yin de nos organes sensitifs. On active notre partie Yin du corps. Cela nous permet de décontracter plus le ventre et la poitrine et surtout au niveau du
diaphragme. Séparez énergétiquement votre pavillon en quatre parties différentes et accentuez séparément votre attention sur trois points:

a. les lobes. Leur activation correspond à celle de la tête

b. la grande cavité à coté de l’oreille moyenne - correspond à la poitrine

c. le pli de l’oreille. Son rôle est très important car il partage le pavillon en deux parties et se lie avec le diaphragme.

Analyser vos sensations et comparez les deux oreilles.

Le plus important pour nous dans ce travail ce sont les effets secondaires au niveau du diaphragme et dans le corps qu’on ressent pendant cette
pratique. Décontractez le ventre. Nous avons sept couches dans le diaphragme, des membranes collées les unes aux autres.

Les trois couches du haut représentent l’espace yang du diaphragme, et les trois couches du bas sont l’espace yin. La couche du milieu, c’est le péricarde, qui embrasse le coeur. Grâce à cette activation du pavillon des oreilles on peut nettoyer notre diaphragme plus précisément en cherchant l’information et en expulsant cette activation émotionnelle.

Continuez d’activer ces trois zones. Touchez les pavillons avec les doigts.
Puis fixez votre attention sur le lobe de l’oreille, sa grande cavité et le pli du côté yin - maternel (côté yin pour les filles –gauche, pour les garçons droite).
Activer le pli plus fortement.
Recherchez la résonance dans le corps.
L’activation de la partie maternelle active la partie yin du diaphragme. Le secteur yin le plus fort est du côté yin sur la face avant du corps.
La partie yin du diaphragme prend deux tiers de la  surface. Elle a elle-même des côtés yang et yin.

Pour les femmes – la partie yin du corps se situe à gauche. Ce secteur possède une énergie Yin Mûre ou Vieux Yin. Le diaphragme est le meilleur dépôt, fermé et bien protégé, de l’information yin et yang. Elle est liée à notre système psychologique, et à la partie sentimentale. Sachez qu’avec des vibrations du rire nous sortons l’information négative du diaphragme plus facilement.

L’information se cache tellement bien dans cette membrane que les égrégores n’y peuvent pas y accéder pour la puiser.

Maintenant activez le côté paternel.

L’énergie maternelle est importante pour le corps, car elle nourrit, apaise et invite au repos, l’énergie paternelle, au contraire, nous pousse aux actions.

Les hommes sont plus tendus que des femmes et ils « brûlent » plus souvent leur diaphragme que les femmes.

2) En position de serviteur liez les mains derrière la tête et touchez le sol avec les coudes plusieurs fois. Décontractez-vous,ressentez le diaphragme.

3) Pour continuer voici la technique indienne pour activer encore plus les parties maternelles et paternelles au niveau du diaphragme :

Ecoutez la division de l’énergie en deux côtés : paternel et maternel.

Commencez la respiration avec une narine bouchée.
Quant on respire avec la narine maternelle cela touche la partie maternelle. Faites une inspiration et une expiration, changez de narine.

Dans notre corps le coté paternel s’active entre 6h du matin jusqu’à 18h , côté maternel - de 18h jusqu’à 6 h du matin.

Cela active l’information correspondante (maternelle ou paternelle) et provoque le travail nettoyant. Si vous avez régulièrement une narine bouchée vous pouvez comprendre avec quelle sorte d’énergie (yin ou yang) il vous est mieux préférable de travailler.

4) Analysez l’état du diaphragme et commencez à tourbillonner l’énergie dans le ventre autour du nombril en l’accentuant.
A droite nous montons le tourbillon et à gauche nous le descendons. Élargissez cette circulation pour toucher, frotter avec ce flux d’énergie le diaphragme.En même temps continuez d’activer le pli de l’oreille, le diaphragme.
C’est une sorte de nettoyage forcé. Avec ce tourbillon nettoyons d’abord la partie maternelle. On peut ressentir la tension entre le diaphragme et le foie, puis c’est comme des décharges énergétiques. Le
foie n’aime pas ce travail car il préfère le tourbillon personnel. 
Quand vous touchez le diaphragme essayez d’abord de toucher  la couche inférieure, précisez son état puis faites tourbillonner l’énergie afin d’accéder à la deuxième couche (toujours du côté maternel), de cette façon on peut préciser l’état de chaque couches du diaphragme. On obtient une activation agréable de tous les niveaux du corps.

 

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