Une vraie famille est un faisceau de flèches dans un carquois de sérénité.

Qui laisse sa famille doit viser un but, tenir l’équilibre, garder le cap, réaliser ses objectifs -

puis revenir au plus vite dans le giron de la compréhension mutuelle et de l’unité familiale.

 

 

 

 

 

 

Le mélange et la collision des différents flux dans les prismes des lentilles des filtres protecteurs, qui entourent le corps, forment la spécificité de la structure du corps énergétique extérieur. La formation, la structuration et la concrétisation de ce chef-d’œuvre parfait et complexe, créé par la nature, se poursuivent jusqu’à 40 ans, l’âge mûr de l’homme. Analogiquement avec les phénomènes de la nature, on peut comparer le corps physique de l’homme avec une graine plantée dans un sol riche (ou pas trop riche). La spirale de l’information, compressée à l’intérieur, se déploie au cours du processus où les éléments informationnels absorbent l’énergie. Cela aboutit à l’apparition, à la croissance et à la maturation d’un grand arbre touffu, à la cime épanouie, couverte de fleurs ou de chatons.

Cette comparaison de deux phases, celle du début et celle de l’étape finale, de la petite graine jusqu’au géant, est incroyablement stupéfiante. Le même processus se passe pendant la formation du corps énergétique extérieur. En ouvrant ses cocons, ce corps remplit tout l’espace de notre galaxie et sort de ses frontières. La structure énergo-informationnelle la plus puissante est le cerveau principal, l’organe qui traite toutes les influences extérieures possibles et qui réagit adéquatement dans le but de protéger la nature de l’homme. La graine d’où se déploie cette information se trouve dans le cervelet, la partie occipitale du crâne. Comme dans un arbre, cette graine grandit dans deux directions : vers le haut, par sa tige et, vers le

bas, par ses racines. Le cervelet « grandit vers le haut » avec le cerveau intelligent et ses centres informationnels placés dans le canal du haut. Il «creuse vers le sol » avec le cerveau reptilien et avec ses centres énergétiques, disposés dans le canal du bas. Autour du cervelet et du corps de l’homme se créent des cocons qui permettent une interaction de l’énergie montant du bas et de l’information descendant du haut. Et comme on l’a déjà vu, dans ce processus - foncièrement personnel, intime et complexe - s’immiscent, dès le premier instant, les «aides» demandés et non demandés, des matrices énergo- informationnelles des grand-pères et des grand-mères, des parents, des autres membres de la famille et des amis.

On imagine combien il est difficile pour la nature de garder sa personnalité, ses particularités individuelles, le caractère non-répétable des qualités scellées dans morceau de cristal informationnel stabilisé.

La force des matrices présentes tout autour accélère l’ouverture des parties correspondantes du potentiel de la nature de l’homme. Les faiblesses et les conflits des matrices dérangent, altèrent les autres zones du corps extérieur qui se déploie, en provoquant des problèmes postnataux. En même temps, la collision des différentes combinaisons énergo-informationnelles utilisées au cours de la construction fait naître des tensions multiples dans les cocons déjà créés comme dans ceux qui sont en cours de développement. Si la nature de l’homme est pleine de vitalité, si elle est active ou agressive grâce au hasard initial, alors elle va utiliser les tensions, qui surgissent dans le système, pour renforcer, pour enrichir son expérience et son immunité énergo-informationnelle.

Si la combinaison des informations de la nature de l’homme s’est figée dans des liens néfastes entre les différentes parties, alors les tensions extérieures, situées dans la zone des sensations énergétiques des cocons, seront interprétées comme des problèmes internes. Ils seront conservés comme des épines qui irritent constamment, apportent la douleur, affaiblissent la nature propre et le corps énergétique extérieur.

La rupture de l’équilibre dans le développement de la nature humaine survient quand un enfant est éduqué seulement par sa mère, sans père présent. Il est entouré d’un excès d’énergie sans enrichissement informationnel adéquat. Sa sensibilité devient hypertrophique, sans qu’il sache en contrôler les manifestations et vers 14-16 ans, inévitablement, l’enfant reçoit un profond traumatisme psychologique au moment de l’ouverture de son premier cocon psychologique. Cela entraîne la dépression, suivie par les tentatives d’éliminer les zones douloureuses ; l’incapacité à y parvenir conduit au désespoir et aux comportements autodestructeurs. Si l’issue de cette tragédie est heureuse, la nature de l’homme s’enferme pour toujours dans sa tour d’ivoire, il se cache dans son petit monde à lui, il se console dans les arts : il écrit des poèmes, des chansons, des romans, il peint des tableaux, autrement dit, il essaie de créer dans son imagination un monde bon et serein et, en même temps, il essaie d’exprimer sa douleur intérieure, et de s’en libérer. Il est obligé de créer un monde où il lui est plus ou moins tolérable de passer le temps que la vie lui octroie.

 

Les filtres des parents les plus éloignés se manifestent et se déploient pendant le développement et l’extension du corps énergétique extérieur, environ à 18-20 ans. Au-dessus des filtres de nos grand-pères au niveau du canal du haut, s’ouvrent les matrices énergo-informationnelles restantes, celles de nos arrière-arrière- grand-pères ; au niveau du canal du bas, il y a les matrices de nos arrière-arrière-grand-mères. Et après encore 15-16 années, vient se manifester l’information des matrices des grands-parents de nos arrière-arrière-grands-parents. D’habitude, cet apport de l’information des anciennes générations s’achève vers 40-45 ans, l’âge où l’on commence à vieillir rapidement, en perdant les restes de nos réserves énergétiques. C’est la période d’immobilisation de notre corps énergétique extérieur. Mais si la personne possède un grand potentiel énergétique, elle ne perd pas ses forces, mais au contraire, elle trouve de nouvelles possibilités pour se renforcer - c’est une autre couche des filtres des grand-parents de quatrième degré qui s’ouvre pendant 8-10 ans.

Ce réveil de l’ancienne information enrichit énormément la nature de cette personne, en lui donnant la possibilité de voir et de comprendre l’évolution de plusieurs phénomènes de la nature dans le déroulement temporel. Cela signifie qu’elle peut prévoir beaucoup d’événements et de situations ; la cause et la conséquence de leurs interactions. Cette personne s’ouvre à la sagesse.