L’activité mentale est un travail énergétique par lui-même, nos pensées sont une sorte de flux énergétique. C’est une source de mouvements hors de l’Espace et du Temps. Il suffit que nous pensions à quelqu’un, pour que cette pensée se transmette immédiatement, et la personne (ce quelqu’un), peut le ressentir si elle est suffisamment sensible. De la même façon nous pouvons nous imaginer penser à n’importe quelle étoile même la plus éloignée, ou au Soleil par exemple, et notre pensée l’atteindra instantanément alors que la lumière du Soleil met dix minutes pour atteindre la Terre.

La pensée est un mélange d’énergie et d’information. Chaque pensée est la réalisation d’une information de l’instant, avec l’aide de l’information qui se trouve sur la matrice énergo-informationnelle du « pensant ». Cette pensée peut prendre différentes voies au contact de l’énergie. Elle va rester telle une bulle de savon, si l’énergie ne la transforme pas en pénétrant à l’intérieur, et c’est ce qui se passe avec l’imagination, ou lorsque notre pensée est orientée sur nous-même. Mais si elle est dirigée vers autrui, c’est un spectre d’énergie plus dure qui se met à l’œuvre, et la pensée devient alors comme une fléchette qui cherche son but afin de se lier, afin de mettre en place des fils. C’est une fabrique de tentacules. Et ce processus énergétique a lieu quelle que soit la nature de la pensée (amicale, haineuse.).

Nos idées et nos pensées ont donc un champ d’action ou d’influence sur les personnes qui nous entourent. Ce flux énergétique « dirigé » peut être agréable ou percutant pour son destinataire.

Si nous sommes dans un état actif et équilibré, notre énergie, en tourbillonnant et en envoyant des pulsations protège notre corps physique par une enveloppe suffisamment dense, si bien que les flux « percutants » dont nous pouvons être l’objet vont le contourner sans faire trop de dégâts. Les dommages provoqués par nos propres pensées « noires » peuvent être par contre beaucoup plus importants pour autrui mais aussi pour nous-même. En répandant autour de nous une vague d’énergie pleine d’information négative (vœux de malheur, jalousie, ou tout simplement émotions négatives), nous arrosons tout et tous ceux qui sont autour de nous. Si cette émission ne rencontre pas de résistance, elle s’accumule dans les enveloppes des autres personnes, après les avoir percutées, déformées, écrasées, ou tout simplement en les intoxiquant - tout dépend de la force et de l’activité de leur cocon énergétique. Mais si cette émission rencontre un bouclier énergétique puissant (cela grâce à l’aide d’un égrégore, d’un maître, ou simplement si cette personne travaille avec l’énergie et sait rejeter l’agression) comme un boomerang elle repart vers nous : c’est « le coup de retour » qui agit et sa force est beaucoup plus importante que celle d’un coup ordinaire.

« Le coup de retour » a l’information et l’énergie de celui qui a frappé en premier lieu, (de l’envoyeur), et par conséquent connaît le « chemin » par lequel il est venu, donc en revenant sans difficultés directement chez son « maître », il le frappe en provoquant chez lui des destructions importantes. Cela peut se traduire de différentes façons: l’envoyeur peut tomber, se blesser, avoir un accident, tomber malade. D’ordinaire la conscience humaine y trouve toujours des explications « objectives » mais la cause première de ces événements peut être ce « coup de retour ».

Mais il ne faut pas oublier que la pensée est un précieux outil. Au moyen de la concentration, notre pensée peut en effet devenir un instrument qui va gérer les flux qui sont à l’intérieur de nous comme ceux qui nous entourent. En nous concentrant sur un point du corps, nous y attirons ainsi spontanément de l’énergie, créant une sorte de centre énergétique, énergie qui permet en la dirigeant de corriger, d’adoucir, de nettoyer la zone sur laquelle on travaille. L’aptitude à se concentrer, à focaliser son attention, définit le succès du travail énergétique.