Le plus petit système complet de la vie organique accessible à la conscience humaine est la cellule. La cellule est universelle, c’est un dépôt d’information autosuffisant créé à partir de manifestations énergo- informationnelles diverses, qui servent à la protection, à la viabilité et à la multiplication du tissu biologique.

La cellule comprend plusieurs parties importantes, matériellement organisées et liées entre elles.

Le noyau est le concentré de l’information du développement de toutes les structures du caillot de la protonature et il contient la spirale génétique de l’information reçue des parents.

Le réticulum endoplasmique saisit les impulsions de l’information du monde extérieur et les accumule dans le cytoplasme, le milieu liquide qui assure la tranquillité du noyau.

La force motrice de tous les processus vitaux de la cellule est dispersée dans le corps énergétique intérieur de la cellule, de la même façon que le dépositaire de ressources vitales, le générateur d’énergie de l’ensemble du corps physique, est répandu à l’intérieur du corps sous la forme de canaux et de centres énergétiques, et forme le corps énergétique intérieur de l’individu.

Avant sa division, le corps énergétique intérieur de la cellule, met en valeur le centrosome, le centre énergo-informationnel le plus actif qui se chargera du fonctionnement de tous les processus ultérieurs liés à la continuité de la vie. Le centrosome forme une carcasse énergétique rigide, doublée dans sa manifestation matérielle par des fibres élastiques, devenant en fin du compte une quenouille étroitement tressée, dont les fils maintiennent le volume nécessaire de la cellule, en renforçant sa membrane extérieure.

 

À l’instar du corps énergétique extérieur de l’homme, chaque cellule est entourée par une auréole de membranes énergétiques et physiologiques de toutes sortes, qui saisissent avec une grande attention les vibrations mécaniques, acoustiques ou énergétiques, qui viennent de l’extérieur. Ces membranes répartissent les diverses impulsions dans leurs parties composantes - énergétique et informationnelle - et inscrivent les précieuses acquisitions reçues dans leur mémoire, en appliquant un motif énergo- informationnel additionnel correspondant à l’information reçue.


Une simple énumération des membranes de la cellule qui se manifestent matériellement vous donnera une notion de l’intérêt de cet organisme, certes petit, mais pas simple du tout quant à la façon dont il cherche à capter sur plusieurs niveaux l’énergie et l’information.

a- La membrane cytoplasmique extérieure, ou membrane cellulaire - un blindage rigide, tacheté par un système de soupapes et de filtres qui régulent l’accès des ions, des substratum et des ferments, pour la production d’objets à l’intérieur de la cellule.

b- Le réticulum endoplasmique ou filet - un labyrinthe extraordinairement développé de canaux et de cavités envahissant tout le volume du cytoplasme. Les membranes de ses parois sont hétérogènes et comprennent des zones lisses et rugueuses. Les lisses sont le lieu d’accostage des transports énergétiques, et les rugueuses - de l’information. Le réticulum touche la membrane extérieure et la membrane du noyau de la cellule, et sert à transmettre les signaux de l’extérieur vers le noyau, après un traitement obligatoire des impulsions énergo-informationnelles.

c- Les Ribosomes - structures sphériques, accumulateurs de protéines et d’ARN, dont les membranes perçoivent tout le temps les signaux des cils des membranes du labyrinthe endoplasmique et, conformément à cela, intègrent ou rejettent “l’accumulé”. Ils possèdent un mécanisme de tension de l’énergie des protéines et de tension de l’information de l’ARN, qui se manifeste avant tout dans la structure de leurs membranes possédant en quelque sorte une multitude de micro-aimants qui créent un champ magnétique intérieur.

d- L’appareil de Golgi - un ensemble énergétique de groupes de citernes aplaties, dont les membranes à l’extérieur et à l’intérieur sont lisses - les transmetteurs de l’énergie servant à la biosynthèse des hormones des protéines.

e- Les Mitochondries - les générateurs de l’énergie cellulaire, dont les parois comprennent deux membranes. Celle de l’extérieur - lisse, énergétiquement active, régule l’échange énergétique entre les milieux intérieur et extérieur. La membrane intérieure - poreuse, molle, productrice d’énergie, dont les cloisons partent en profondeur dans le corps de la mitochondrie. Les paramètres des cloisons, le motif informationnel sur leur surface et l’activité des oscillations assurent la production du type défini d’énergie nécessaire à une cellule donnée pour son activité vitale et sa reproduction.

f- Les Lysosomes - les éboueurs, les destructeurs de n’importe quelle structure étrangère. Ils sont entourés par une membrane composée de trois couches qui est capable de définir les paramètres qualitatifs des objets, en intégrant des échantillons de leur énergie et de leur information. Si le rapport entre l’activité énergétique et la qualité de l’information ne correspond pas à la norme donnée par le champ énergétique total de la cellule, cela signifie que cet objet est un obstacle, un ballast, et les lysosomes le suppriment alors immédiatement.

g- Le noyau - le dépôt principal de l’information génétique, le maillon définissant les particularités fonctionnelles de la cellule. Son enveloppe est composée de deux membranes : l’extérieure - rugueuse, couverte par des ribosomes, l’intérieure - lisse, qui définit l’énergie.

La membrane extérieure du noyau est la suite organique du labyrinthe ou filet endoplasmique, qui, à son tour, est lié à la membrane extérieure de la cellule.

Tout cet ensemble gigantesque de membranes cellulaires est un centre énergo-informationnel qui rayonne constamment avec des modulations d’énergie vers l’extérieur de la cellule. La somme des rayonnements des millions de cellules de notre organisme crée l’activité du champ énergétique que forment les centres énergétiques des organes, les différentes zones du corps et les principaux centres énergétiques (chakkra, dantians) du corps énergétique intérieur de l’homme.

Comme nous l’avons dit précédemment, la cellule est un système doté d’une organisation supérieure qui accomplit des tâches tout à fait précises, définies par sa position dans l’organisme, des tâches de maintien du haut niveau général de la viabilité de l’organisme.

La spirale de l’ADN est le code de la matrice énergo-informationnelle du caillot de la protonature, enregistré dans une configuration précise des lignes de force du champ énergétique de l’organisme vivant.

La répartition initiale de la spirale génétique dans l’embryon se fait soigneusement dans les spirales des chromosomes.

La précision de l’entrelacement de cette spirale dont les nœuds sont subtils stimule les secteurs ouverts pour révéler l’information fixée sur ces zones. L’information qui reste sur les spires fermées de la spirale n’est pas réveillée par le flux d’énergie venant du dehors et demeure “non-réclamée”.

Les spirales de toutes les cellules homologues ont des nœuds identiques et des secteurs identiques fermés et ouverts. La différence de fonction de chaque cellule se manifeste dans la différence des motifs de sa spirale et dans l’arrimage des divers secteurs de conservation et d’activation.

La spirale de l’ARN se distingue par une complexité moindre et par une plus petite quantité de composants. En parlant de façon imagée, si la base de la spirale de l’ADN était en acier, celle de la spirale de l’ARN serait en cuivre pliable et capable de changer facilement de forme.

C’est pourquoi dans le processus de la division de la molécule de l’ADN, la chaîne des nucléides ADN garde sa forme principale, alors que la molécule de l’ARN possède une chaîne de nucléides prêts à accepter n’importe quelle forme proposée.

Le sens de la tension énergo-informationnelle de la chaîne des nucléides ADN est dirigé vers le centre de la spirale, vers son noyau, en assurant par cela la solidité de la forme et la torsion en nœuds des fils de la pelote informationnelle.

Dans la chaîne des nucléides ARN, le sens de la tension va du centre vers la périphérie, en étendant les fils et en assurant un meilleur contact avec la spirale antagoniste.

Dans le processus de fusion des nucléides ADN et ARN il y a diffusion de la tension de la chaîne ARN en direction de la membrane de la molécule et renforcement de la nouvelle combinaison de la spirale ADN.

Autour des cellules on trouve la matière subcellulaire, qui est plus informationnelle, moins chargée en formes concrètes et, conformément, moins énergétique.

Par la structure de sa matière, elle est semblable au cytoplasme de la cellule, mais à la différence de celle-ci, elle a un accès aux diverses sources informationnelles extérieures qui la touchent.

La structure subcellulaire est un thésauriseur d’information, le dépôt de l’information importante de la spirale de la personnalité. On peut dire que la coopération de la protonature et de la personnalité, du stable et du changeant, de ce qui est formé et de ce qui est fluide, trouve son expression dans la réalisation matérielle de la cellule et de l’espace subcellulaire.

Le degré du vieillissement de l’organisme se manifeste non pas dans les cellules qui peuvent continuer à se diviser, à se développer, mais dans la structure subcellulaire, où les processus de vieillissement sont irréversibles si l’on maintient un mode spontané de coopération de la vie énergo- informationnelle extérieure et intérieure. La pratique d’exercices énergétiques d’autorégulation, d’apprentissage du Qi Gong ou du Yoga, en concentrant son attention sur les flux d’énergie et d’information du Cosmos et de la Terre qui traversent le corps, influence en premier lieu l’espace subcellulaire. Un flux dirigé de corpuscules énergétiques qui portent dans leur champ gravitationnel le motif versatile d’une information, passe plus facilement dans le plasma subcellulaire.

Si on prolonge cette pratique un temps assez long, environ trente jours, alors hormis son influence hygiénique directe, ce processus commence à influencer avec précision les structures des membranes des cellules. Agissant de plus en plus fortement sur l’énergie du corps, l’influence se propage ensuite sur les particules matérielles, en les nettoyant, en leur donnant une souplesse et la capacité à transformer ou adapter le flux, qui non seulement entoure la cellule, mais qui commence à la pénétrer progressivement.

La cellule, enveloppée par un flux de plus en plus puissant, échange plus activement de l’information et de l’énergie avec les autres cellules. Le degré de propreté et d’élasticité de la membrane extérieure de la cellule s’accroît, les processus de métabolisme et de nettoyage s’accélèrent, les scories énergétiques et les déformations informationnelles conduisant ordinairement à des maladies se diluent.

Il y a rajeunissement, nettoyage, assainissement des tissus du corps physique et du corps énergétique intérieur.

L’activité énergo-informationnelle intense de ces structures les plus petites, comme les molécules d’albumen ou les cellules, transforme le corps physique en un énorme feu d’artifice de micro-explosions de nombreuses ondes d’énergie et d’information qui rentrent en contact constamment et ainsi qui se renforcent ou se calment. Comme le scintillement d’une quantité innombrable d’étoiles par une nuit claire est limité par la frontière circulaire de la ligne de l’horizon, l’activité du fonctionnement des microstructures du corps est aussi entourée par une frontière, la peau. En considérant ce processus tempétueux comme la réaction constante d’une désagrégation nucléaire, il semble que ce processus dirige toutes les autres structures plus grandes ainsi que leurs processus intérieurs.