La médecine s’est développée depuis aussi longtemps que l’homme est présent sur la Terre. Si l’on se représente la diversité des principes d’approche du soin sur cet énorme intervalle de temps - cela nous donnera la profondeur de l’aperçu historique.

Et si l’on se représente les différences façons dont se sont développées les méthodes de soin dans les différentes régions de la Terre, dans les divers continents, dans les pays différents - cela nous donnera la largeur de l’aperçu géographique.

On peut appeler cette période d’environ trois mille ans, la partie manifestée de la spirale temporelle.

On peut observer d’une manière globale les tendances du développement de la plus importante science, qui à certains moments de son expression, est devenue un art.

Les étapes principales du devenir de la médecine moderne sont : Ayurveda et Hatha yoga en Inde, Tao Yin et Zhen Jiu en Chine, Hippocrate et Galien en Europe, Ibn Sina (Avicenne) en Asie Mineure.

Parallèlement à cela, forts de leur anonymat et par leur conformité stricte aux traditions et aux rites légués en héritage par leurs prédécesseurs, les guérisseurs, les sorciers, les chamans, les prêtres de toute la planète, ont influencé par leur art médical la majeure partie de la population de la planète.

La médecine européenne, seule parmi toutes les médecines du monde, a commencé à se développer dans une direction scientifique, en se structurant, en se systématisant, en se parcellisant et en prenant forme dans cette parcellisation.

Ce tournant vers la science a permis à la médecine qui avait jusque-là un aspect de culte et de mysticisme, de se constituer un système avec une multitude de facettes de données effectives, et de s’appuyer sur la matérialité du corps physique comme base d’influence.

L’absence de rigueur dans la sélection des élèves, leur absence de talent ou de leur prédisposition, la médecine “scientifique” les a remplacées par une grande quantité d’expériences et par une explication détaillée et logique des processus qui ont cours dans le corps physique. La médecine officielle tâche de compenser par sa quantité de médecins qualifiés l’aspect superficiel d’une approche strictement scientifique. Cette approche scientifique a permis de mettre en place la fabrication et la sortie de médecins sur la chaîne de la consommation massive. Seuls le désir et une certaine agilité d’esprit permettent au candidat de recevoir le titre de médecin.

Le développement de la science de la médecine va mettre par la suite le médecin académique au service de l’équipement scientifique, d’une machinerie informatique qui agissent sur le corps physique des patients et, qui va au final, presque réduire son rôle à celui d’un figurant qui ne peut aucunement influencer le diagnostic, le traitement et la prophylaxie de la maladie.

Le caractère scientifique, c’est un développement dans la direction du commencement énergétique, dans la direction d’une spécialisation étroite caractéristique de n’importe quelle science[1] qui cherche à réduire le prolongement d’une idée à un minimum énergétique qui va rétrécir, à la façon d’un cône, jusqu’à devenir le point de son sommet.

Au début du XIXème siècle, sur fond d’immersion totale de la science académique de la médecine dans le gouffre de l’absence d’âme, de la mécanicité, de l’homme réduit à un morceau de viande, soudain, au centre de l’idée orthodoxe scientifique, sur un sol apparemment nullement préparé, - en Allemagne - est née une nouvelle direction de la médecine : l’homéopathie.

L’idée a été proclamée par le médecin Samuel Hahnemann, les principes de base ont été démontrés et c’est tout.

La science médicale s’est occupée de l’étude du phénomène qu’est le traitement homéopathique, qui s’avéra soudain antagoniste dans ses bases au mouvement général de la médecine.

L’étude, comme la tentative de comprendre les liaisons de cause à effet du traitement homéopathique ont amené dans une impasse les investigateurs qui souhaitaient trouver une explication scientifique à ce phénomène. On observe la non - coïncidence évidente entre l’influence des préparations “non - matérielles” (ou presque), et la force des effets et des réactions sur l’organisme, inexplicables à partir de la position de la médecine allopathique.

Hahnemann a décrit une méthode de traitement, mais il n’a pas pu apporter d’explications convaincantes sur les causes de son influence.

Il a parlé assez vaguement (probablement selon le principe “celui qui a des oreilles, entendra”) de la dynamisation comme du réveil de la force médicinale, de l’animation (insuffler une âme) de la préparation, de l’ouverture et de la personnification de l’esprit de la préparation.

Il a examiné aussi l’action des médicaments de façon beaucoup plus large que la seule influence physiologique, en analysant et en mettant en relief, comme importantes et définissant sous beaucoup de rapports, les conséquences sociales, créatrices, mentales de la réaction de l’organisme aux préparations.

Et enfin, la pierre angulaire de l’homéopathie - la loi de la ressemblance - “Similia similibus curentur” - “Que les semblables guérissent les semblables”, a semé la confusion dans la médecine officielle et a provoqué une rafale d’attaques.

Jusqu’à aujourd’hui l’homéopathie n’a pas d’argumentation théorique, elle n’a pas la possibilité de prévoir scientifiquement le développement du traitement, elle n’a pas de principe dans le choix des préparations ni de principe d’argumentation dans le moyen utilisé lors de la préparation des médicaments.

Jusqu’ici les homéopathes ont appelé le principe de base de la préparation des médicaments, la dilution, croyant que se cachait là quelque paradoxe échappant à la compréhension de son sens.

En effet, on est face à une situation étrange, absolument illogique: plus on dilue fortement une substance, plus son influence est forte. Et voilà que pour une raison quelconque, Hahnemann a ordonné à chaque étape de la dilution de secouer impérativement la fiole contenant la substance diluée dix fois.

Jusqu’ici, pour préparer, par exemple, le potentiel de 100 000 d’un médicament il faut diluer cent mille fois la préparation et à chaque dilution secouer dix fois la fiole, avant de passer à la dilution suivante. En outre le processus de la mécanisation de cette action primitive de dilution et de secouement, caractéristique du XXème siècle, a démontré que le médicament préparé par les mains de l’homme possède un potentiel d’activité incomparablement plus haut, que celui préparé de façon automatisée.

De plus à partir de la douzième dilution, il n’y a déjà plus aucune molécule de la substance initiale dans la solution, il ne reste plus que de l’eau claire distillée. Mais l’action de ce liquide se renforce progressivement avec chacun des dilutions et secouements suivants.

L’approche énergo-informationnelle permet de donner une explication théorique à la méthode homéopathique.

L’explication du principe de l’influence du pathogène sur le foyer de la maladie et de la nécessité de la dynamisation est devenue possible.

Il  est devenu clair que l’homéopathie est la direction de la médecine académique la plus avancée de par son utilisation de l’onde énergo- informationnelle.

En comparant l’homéopathie avec l’allopathie (principale branche de la médecine officielle) et avec la phytothérapie on peut remarquer les différences cardinales suivantes :

Nous exposerons une brève base théorique du principal miracle de l’homéopathie.

La dynamisation - c’est la transformation de l’information de la substance initiale à un niveau de plus en plus fin de la couche (composante) informationnelle. Le secouement du récipient communique une charge d’énergie aux molécules de la solution neutre pour la lier avec l’information qualitativement changée.

Chaque stade de la dynamisation transfère la concentration de l’impulsion énergo-informationnelle vers des niveaux de plus en plus éloignés du corps physique, vers les enveloppes du corps énergétique extérieur de l’homme.

Par exemple, les six premières dilutions centésimales agissent sur la première enveloppe, en faisant coïncider le niveau de densité de l’impulsion énergo-informationnelle de la préparation avec n’importe quel composant structurel de cette enveloppe. Les dilutions suivantes (de la septième à la quinzième) amènent la concentration de puissance de la charge médicinale sur la deuxième enveloppe, etc.

Comme nous l’avons vu dans le chapitre 11, “Réalisation de soi selon le type d’activité”, la constitution de l’homme est liée aux particularités de la distribution énergétique dans sa matrice du corps énergétique, particularités qui se reflètent et se réalisent dans les signes morphologiques du corps physique. La prédominance de l’activité d’une partie du corps énergétique extérieur dans la distribution de l’énergie définit les particularités physiologiques, les signes psychiques, les processus mentaux de l’individu. Des zones de prédominance apparaissent, elles sont qualitatives des corrélations entre le corps énergétique intérieur et extérieur.

Ainsi, dans les types de constitution carbonique, l’importance de l’utilisation et de l’activation des centres énergétiques inférieurs se trouvant au-dessous du corps prédomine.

Dans les types fluoriques, l’échange mutuel d’énergie entre les enveloppes autour du corps de l’homme, est plus actif.

Dans les types phosphoriques, la fonction des centres énergo- informationnels supérieurs situés au-dessus de la tête prédomine.

Au cours de la vie, les corrélations mobiles de la matrice énergo- informationnelle, tournées vers la réalisation, la distribution et le passage de l’information à travers les structures de la matrice, subissent des changements négatifs. Ce sont les tentatives constantes de l’homme pour s’adapter aux exigences du monde extérieur qui en sont la cause, et qui déforment et changent ses biorythmes naturels. Cela va de pair avec les surcharges de tous les systèmes énergétiques et physiologiques exprimées par des stress de toutes sortes, elles se produisent sans arrêt et cherchent à détruire la résistance de n’importe quel système du corps.

La déformation du corps énergétique s’exprime par un vieillissement progressif de l’organisme, par un affaiblissement des processus énergétiques intérieurs, et par la perte des capacités des membranes et des armatures des enveloppes[1] à reproduire activement l’information extérieure et l’impulsion de réponse.

En rapport avec ce que nous avons vu dans les chapitres consacrés au développement du caillot et de la spirale, la prédisposition pour des déformations stables, précises, apparues lors de la réunion de la spirale de la personnalité et du caillot de la protonature permet la formation de foyers stables d’énergie dure retenant une information vieillie, lourde ou pathologique.

Cette information est l’essence de la manifestation de la maladie qui va se répandre progressivement de l’épicentre, situé sur un secteur d’une des enveloppes, vers le corps physique, en occupant et entraînant progressivement les enveloppes de plus en plus proches du corps, dans un ensemble énergo-informationnel qui se propage. L’énergie dure est orientée vers l’intérieur du corps énergétique, vers sa partie physique et elle la bombarde en provoquant une tension au niveau de tous les types de tissus. Un type introverti de maladie vient de se former. C’est à dire une maladie née dans le corps énergétique extérieur et qui s’est déplacée vers le corps physique.

Le stade aigu de la maladie se développe de cette manière. Il se traduit dans le corps physique par des sensations douloureuses, par un affaiblissement des échanges énergétiques d’une zone quelconque précise du corps énergétique intérieur et par le déclenchement de la réaction du système immunitaire et endocrinien.

Si cela se produit chez un homme civilisé qui suit les recommandations de son médecin de la branche officielle, il prendra des médicaments qui vont retirer l’activité de la réponse immunitaire de son organisme, et qui feront baisser la température, tout en polluant les organes qui ont reçu cette charge, cette pression énergétique douloureuse.

Ainsi au lieu d’apporter de l’aide à son organisme, le patient le prive de la possibilité de résister à l’agression extérieure, il lui ordonne de se taire et porte un coup paralysant à son propre foie.

Choqué par cette réponse inadéquate, l’organisme se tait, et recherche les possibilités d’un compromis avec la maladie.

Et la maladie atteint avec succès un stade chronique, au moment où l’énergie pathologique, qualitativement affirmée, s’empare du corps énergétique intérieur. Avec cela l’information de la maladie change les processus naturels d’activité vitale du corps pour des processus correspondant à son motif informationnel, elle impose sa relation au corps physique et fait de lui son satellite. Maintenant, lentement, profondément, travaillant dans la structure énergétique et matérielle de l’organisme, l’onde porteuse de transformations pathologiques, qui ont un caractère irréversible, se disperse du corps physique vers les enveloppes de plus en plus fines. Ainsi se développe le type extraverti de la maladie.

Les sensations douloureuses s’atténuent de plus en plus et deviennent de plus en plus habituelles. Tous les systèmes de l’organisme acceptent cette influence rongeuse de l’information pathologique avec la désolation d’une condamnation.

Appliqué à l’homéopathie, si la maladie est à un stade aigu, cela conditionne la prescription de préparations à basse dilution. L’onde porteuse de la charge énergo-informationnelle de la préparation se forme, elle est dirigée à l’encontre de l’onde porteuse de l’énergie de la maladie, s’il y a une coïncidence suffisante avec sa partie informationnelle, cela éteint le foyer énergo-informationnel négatif, et s’il y a coïncidence complète, cela le supprime entièrement.

Dans le cas d’une maladie chronique, il est nécessaire d’utiliser d’abord de hautes dilutions qui agissent au niveau des enveloppes plus éloignées et qui ne sont pas encore concernées par le processus de décomposition.

L’onde curative apparue sur les enveloppes fines va se précipiter vers les plus grossières c’est-à-dire à la rencontre de la diffusion du processus chronique. Si l’onde bénéfique vainc la négative, elle arrivera au corps physique, et elle renversera ainsi le développement de la maladie d’un stade chronique vers un stade aigu.

La réaction de l’organisme se produira alors de façon brutale, avec à nouveau l’apparition de la douleur, suivie du réveil de la réponse immunitaire.


A ce stade il est possible d’utiliser l’influence combinée de préparations à haute et à basse dilution.

Les préparations les plus chargées en information, s’appellent des polychrestes et possèdent un large spectre d’influence. Elles sont destinées à embrasser tout le code énergo-informationnel de la matrice d’un type constitutionnel défini ou un diapason assez large d’enveloppes avec leurs secteurs. Il en existe beaucoup dans les répertoires de l’homéopathie.

Les nosodes et les miasmes, ces préparations appliquées ordinairement à de hautes dilutions, sont encore plus efficaces et précises au niveau de la direction de leur action dans les cas graves, dans les cas de maladies chroniques. Elles sont fabriquées avec la base de l’information d’une maladie précise et des produits de la désagrégation des tissus pendant ce processus, ainsi qu’avec des sécrétions physiologiques du foyer de la maladie qui s’est manifesté dans le corps physique. Naturellement, la préparation fabriquée à partir d’une telle information, coïncide à tous les niveaux avec l’onde informationnelle de la maladie qui se développe.

Envoyée à la rencontre de l’onde pathologique, cette “contre-onde” détruit le noyau informationnel de la maladie si elle possède une puissance suffisante, c’est-à-dire si elle a été suffisamment dynamisée. Si son activité n’est pas suffisante, elle freine un peu le développement de la maladie, et ralentit la vitesse de sa propagation.

Malheureusement, l’homéopathie n’a pas de possibilité de définir très précisément le niveau nécessaire de la hauteur de la dilution pour que l’action agisse tout de suite (directement) sur l’épicentre de la maladie. Cela conduirait à une guérison miraculeuse, à la destruction instantanée du noyau de la maladie. Parfois de tels cas phénoménaux se produisent lorsque l’onde de l’information de la préparation envoyée par chance se trouve par hasard dans la zone nécessaire du corps énergétique, elle y explose et détruit tout de suite l’information de la source de la maladie.

En utilisant à la fois une expérience médicinale homéopathique des plus riches et une méthode élaborée pour créer une onde “dirigée” d’une qualité informationnelle précise, un groupe de médecins et de guérisseurs ont trouvé la possibilité de modeler le flux énergétique possédant une matrice informationnelle donnée et de la charger au degré de dilution voulu, quelqu’il soit.

On peut dire que la synthèse des acquisitions de l’homéopathie et du modèle énergo-informationnel présentés dans ce livre, offre la possibilité de refuser toute forme matérielle de préparations médicinales et de créer des flux énergo-informationnels, des caillots, des structures, qui reconstituent le double de n’importe quelle substance de l’Univers, de même que des formations énergo-informationnelles abstraites n’ayant pas d’équivalents matériels.

Il est possible de créer la manifestation de l’information désirée à n’importe quel degré de dynamisation même astronomique.

Le maintien de l’interaction entre une telle “préparation” et la matrice du patient quel que soit le délai défini ou indéfini est également possible.

Maîtriser la vitesse du rétablissement du patient, en fonction des ressources de réhabilitation de son organisme, est possible.

Ces fantastiques mais réelles possibilités, sont la conséquence conjuguées de l’utilisation pratique du modèle énergo-informationnel, de l’étude des rayonnements de plantes précises et de minéraux, de la découverte de leur matrice énergo-informationnelle, et de la définition du “poids spécifique” de l’énergie et de l’information dans les manifestations concrètes des objets.

Puis, ce groupe de chercheurs a développé une méthode de création d’un double énergo-informationnel pour n’importe quelle matrice de plantes ou de minéraux. Et enfin il a trouvé le mécanisme de la dynamisation extra­sensorielle des matrices de substances à pratiquement n’importe quel degré.

Pendant trois années, différents cycles d’études expérimentales ont été tenus pour tester les méthodes découvertes de l’influence extra­homéopathique sur un groupe de gens qui pratiquaient depuis longtemps les systèmes chinois d’autorégulation,

Puis, pendant deux ans, des essais ont été effectués sur des groupes spécialement organisés, où une partie des participants a reçu un traitement d’un mois, une autre partie un traitement de 4 - 5 mois, le troisième groupe a travaillé une année et le quatrième groupe deux années.

Ce groupe de chercheurs a constamment fait des statistiques, et mené enquête sur enquête.

Cela nous a donné la possibilité d’établir certaines conclusions :

1-   Avec un traitement énergo-informationnel de 3 mois il y a d’ordinaire une phase d’aggravation initiale de toutes les maladies chroniques, habituelle pour l’homéopathie, la guérison survenant par la suite.

Avec un traitement de 6 à 7 mois, après l’effet indiqué ci-dessus, les processus d’échange et de nettoyage au niveau cellulaire et au niveau des organes et des systèmes, s’activent dans les corps énergétiques extérieur et intérieur et dans le corps physique de même que le travail du système endocrinien.

Avec un traitement de 8 mois et plus, en dehors de l’intensification des processus indiqués ci-dessus, il y a au premier plan un effet de rajeunissement, avec sur l’échelle des années un déplacement en arrière du niveau d’activité des processus de l’homéostasie.

Les patients qui ont suivi par exemple le traitement sur dix-huit cycles (c’est-à-dire sur une année et demie) sont revenus à un âge biologique antérieur de 6 à 8 ans, et au niveau de leur corps énergétique extérieur, exceptée l’obtention d’une matrice énergétique saine, résistante, et propre, ils sont revenus 12 - 15 ans en arrière, ce qui leur donne une réserve immunitaire immense contre les processus du vieillissement et des maladies.

2-    Le traitement extrahoméopathique donne la possibilité de découvrir, et de révéler rapidement les particularités de chacun et d’éliminer une grande partie des déséquilibres psychologiques et génétiques, comme ceux qui sont liés à la matrice. On oppose ainsi une barrière forte à la déformation de la personnalité et aux déformations des corps énergétiques.

3-    Il y a une possibilité illimitée dans le choix - des préparations/médi­caments, (mais plus exactement des doubles informationnels immatériels) jusqu’aux polychrestes et même jusqu’à la matrice des miasmes individuels ; - de la sélection de la dilution des préparations/médicaments en rapport avec les porteurs énergétiques des structures molles jusqu’aux structures suprarigides.

4-    Des méthodes de traitement individuel ont été travaillées sur des petits groupes, sur un auditoire et sur un ensemble de gens donnant la possibilité d’optimiser l’état de la pensée, de la résistance physique, de l’activation des processus intérieurs d’autorégulation des corps énergétiques et du corps physique.

En conclusion, sans aucune correction de notre part, nous vous livrons mot à mot les fragments d’une enquête effectuée auprès de patients qui ont suivi un traitement, pour certains, de neuf cycles ; fragments qui nous ont paru assez intéressants.

Mme O. N.Svirchtch, économiste: “J’ai suivi les neuf cycles. Avant j’avais essayé de travailler moi-même, sans résultat. Pendant le traitement, j’ai complètement changé, même extérieurement, tout le monde l’a remarqué. Mais j’ai particulièrement changé psychologiquement, je ne me fatigue pratiquement plus quel que soit le travail, je dors peu et je ne désire pas dormir. J’ai cessé d’être malade. Ma mémoire s’est améliorée. Une possibilité “d’émerger de la subconscience” est apparue. Pendant cette période, j’ai traversé plusieurs révolutions, physiquement comme psychologiquement”.

Mme N. K. Jarova, médecin, huit cycles : “J’ai commencé à remarquer la nécessité de ce travail. Psychologiquement un grand mélange de blocages est apparu. Après le premier cycle, il y a eu une sensation de grande tension psychologique. Après un état de crise, il y a eu une amélioration à la fin de chaque cycle. J’ai constaté une amélioration rapide de mes capacités mentales ainsi que professionnelles, au niveau relationnel, dans mon état général. Il y a eu beaucoup de crises émotionnelles (conséquence du nettoyage), il y a eu beaucoup de vagues d’agressivité. Je suis devenue émotionnellement beaucoup plus stable. À l’intérieur, je me suis sentie comme une structure complètement différente d’un autre niveau. Sur le plan physique aussi, il y a eu des changements, mais en comparaison avec les psychologiques ce n’est pas tellement important pour moi. Beaucoup de pelures sont tombées, un saut brusque vers le haut “.

Mme V. A. Kovalevskaya, professeur, six cycles : “Cela a été un rejaillissement professionnel, je suis revenue à des tâches dont je m’occupais quinze ans auparavant. Je me réalise au travers des étudiants, ils me plaisent tous maintenant”.

Mme V. V. Vorotilina, retraitée, neuf cycles : “De très grands changements : ils ont retourné toute ma vie, ils m’ont rincé et physiquement et émotionnellement. J’ai entièrement changé, et je ne suis pas encore tout à fait stabilisée, le processus d’agitation continue. Je me sens plus confiante par rapport à la vie”.

Mme N. K. Pavlova, professeur, huit cycles : “Il y a eu beaucoup d’événements, beaucoup de changements. Je suis devenue plus légère physiquement; émotionnellement je n’ai plus peur de rien, les gens entrent facilement en contact avec moi. Je n’ai peur de rien, j’ai la sensation de connaître tout, comme “la maladie des étoiles” - c’est très étrange. Tout ce qui s’est passé ici m’a été nécessaire. Pendant le travail, je sens le courant qui me sépare de tout ce monde, comme un embryon. Quand je reviens dans ce monde, les sensations sont magnifiques. Et j’ai toujours envie d’aider tous ceux qui sont à côté de moi, mon cœur est grand ouvert”.


Mme E. N. Borguest, médecin, six cycles : “C’est comme si j’étais morte et née de nouveau. Je n’étais pas prête à me comporter d’une façon extrêmement égoïste. Il est impossible de revenir au sacrifice absolu et à l’Amour Universel. Maintenant il m’est difficile de réunir cela. Je ressens la perte de mes idéaux, je ne sais pas pour quelle raison ? Pourquoi ???”

Mme O. F. Oustimenko, médecin, trois cycles : “J’ai ressenti ma sensibilité augmenter et une nudité émotionnelle. J’ai réussi à résoudre plusieurs problèmes. Cela m’a apporté le respect de moi-même, je me suis sentie plus sage. Je regrette beaucoup de ne pas avoir suivi tous les cycles”.

M. V. N. Ivanov, ouvrier, un cycle: “Je me lève le matin, plus envie de dormir ! ! ! Après le travail, la fatigue est absente, le temps passe plus rationnellement pendant la fabrication d’une pièce. La pensée a changé”.

Mlle G. D. Aleksikova, employée, deux cycles: “Les perceptions ont changé, même le goût. Je vois avec les yeux fermés la pièce telle quelle.”

Dans le travail avec les groupes, on s’est heurté constamment au phénomène de la corrélation et de la confrontation de la personnalité et de la protonature. Les deux commencements dans chacun de nos participants, avec toutes les forces des possibilités accumulées, s’élançaient l’un vers l’autre dans une lutte pour un flux énergo-informationnel nouveau, extraordinaire, qui pénétrait dans leur royaume.

Pendant les premiers trois - sept jours du traitement, les relations entre la personnalité et de la protonature s’éclaircissent. En n’écoutant absolument pas les gémissements d’indignation et de souffrance de l’homme, les deux structures se reconstruisent en vue de l’activité des changements ultérieurs. Cet état ressemble beaucoup à leur préparation pour se réaliser, pendant la période du développement de l’enfant dans le ventre de la mère.

Et réellement, à un moment x défini par les particularités individuelles de leur matrice, la grande partie des expérimentateurs bénévoles s’est retrouvée soudain dans l’état de l’embryon, avec toutes les traces de la mémoire physique, psychologique, et mentale de cette période et avec des strates de la nouvelle expérience (depuis la naissance) qui sont venues s’ajouter.

Cette phase prénatale peut se prolonger un jour, une semaine, elle peut accompagner les processus des changements qui suivent, comme une ombre suit un individu, en apportant à tout ce qui accompagne le développement, les traits de l’originalité des sensations et des regards.

Le réveil de la membrane intérieure de l’Âme, des membranes mentale, astrale et éthérée dans l’activité prénatale force l’homme à changer à la racine sa relation au monde environnant, à soumettre à des révisions les corrélations sociales habituelles, à reconsidérer (ce qui est souvent assez douloureux et tumultueux) son chemin et les buts de sa vie vers lesquels il aspirait jusque-là. C’est une brusque réorientation qui survient, une modification de l’interprétation de sa propre vie, une soif de développement ultérieur.

Dans ce groupe expérimental, la plupart des participants sont venus initialement tenter de corriger leur santé, de venir à bout de problèmes familiaux et personnels.

Au bout de quelques cycles de travail, quand le physique et le social entrent dans le processus des transformations positives, ils permettent à l’homme de ressentir une confiance en ses possibilités, puis à un moment critique, les gens soudain ramènent au premier plan la possibilité de réaliser un développement spirituel, ils aspirent à de hauts idéaux, ils ennoblissent leur approche de la vie.

Ils deviennent des élèves potentiels qui attendent leur Maître Supérieur Spirituel qui se prépare à réaliser leurs et ses Espoirs.




[1]ces éléments de la structure du corps énergétique extérieur sont examinés plus en détail dans les chapitres consacrés au corps énergétique extérieur, notamment les chapitres 17 et 22 pour les enveloppes et le chapitre 25 pour les armatures.



[1] Nous en avons parlé dans le chapitre 7 consacré pour une partie, à la science et à l’art.