Sommaire

Les douze premières semaines de la formation de l’embryon de l’homme se sont écoulées.

Le caillot d’énergie pénétré par la pelote des corrélations d’information devient stable, manifestant nettement ses particularités individuelles.

Les prémices intéressantes des futures transformations qu’il possède lui ont permis de passer avec succès un examen important: la “vente aux enchères” et une spirale de la personnalité est entrée en contact avec lui.

Comme nous l’avons vu au chapitre 8, la présence du volume excédentaire de l’information de la spirale de la personnalité et celle du stock supplémentaire d’énergie présent dans le caillot provoquent successivement une explosion, un coup d’éclat de lutte entre eux, et un ajustement progressif de leur combinaison jusqu’à l’obtention d’un état stable qui forme une membrane énergo-informationnelle.

Cette membrane enveloppe le secret de la personnalité et de la protonature, en le cachant et en le protégeant. Les parois de cette membrane sont recouvertes par le motif d’un dessin, (une impression), né de l’onde de choc de l’explosion. Ce dessin est le code qui fixe le contenu potentiel de l’Âme de la personne attendant la possibilité de se réaliser le moment venu.

Les neuf semaines suivantes sont consacrées d’une part au développement des corrélations entre le secret de la personnalité et de la protonature avec cette membrane de “l’Âme”, d’autre part, au développement des parties du corps de l’embryon correspondant à ces corrélations, et enfin à l’accumulation d’un potentiel qui unit le système créé en un tout.

Ce processus est semblable au grossissement d’un bouton de fleur.

Au bout de ces neuf semaines, l’accumulation du potentiel se réalise par une nouvelle décharge énergo-informationnelle entre la personnalité et la protonature, avec expulsion des ressources de chacune de ces deux parties conservées jusque-là pour tenter d’asseoir une domination sur la structure opposée.

Avec pour conséquence la création de la membrane suivante, elle aussi couverte par un motif fixant le résultat de ce combat singulier et définissant les inclinations de l’homme. Il s’agit maintenant de la sphère des possibilités mentales, du potentiel intellectuel, du degré de perfection des corrélations des divers niveaux de la conscience dans le processus de la vie. Cette membrane se distingue de la précédente par le fait qu’elle possède un potentiel d’énergie plus dur, un code informationnel dont le motif est plus concret et le volume beaucoup plus petit.

La membrane mentale recouvre tout ce qui a été créé plus tôt, et c’est elle qui reçoit à présent toutes les influences du dehors.

Pendant les huit semaines suivantes, ont lieu d’une part le processus de germination des liaisons de la structure intérieure avec tous les secteurs de la membrane mentale, d’autre part la poursuite du processus de la formation de l’embryon et, pour finir, les processus unissant les corps physique et énergétique.

Parallèlement à cela, une nouvelle charge de tension s’accumule dans la personnalité et la protonature pour l’attribution de la sphère d’influence de l’aspect suivant de la vie humaine, à savoir la sphère sentimentale - émotionnelle.

L’explosion qui suit cette accumulation de potentiel projette à l’extérieur une impulsion encore plus grossière et plus dure de commencements énergétique et informationnel et engendre une membrane encore plus élastique, flexible, dense, avec un motif plus grossier et concret. Elle s’appelle la membrane astrale. Son influence agira par la suite sur la présence, le niveau de développement et la richesse des nuances des sentiments et des émotions de l’homme. Recouvrant à son tour tous les éléments précédents, elle joue le rôle d’accumulateur et de défenseur de tout ce qui est plus tendre et fragile.

Six semaines passent encore d’un travail constant pour unir le nouveau avec le déjà déterminé, pour développer les corrélations de la future organisation du corps physique et pour accumuler la charge suivante des deux commencements.

À partir de ce stade, les explosions qui vont suivre utilisent des flux énergétiques de plus en plus grossiers et un volume précis et plus limité d’information.

Maintenant c’est au tour du secteur comportemental le plus bas, le plus primitif de se former. C’est un bouton d’une fleur beaucoup plus rigide qui grossit. Or dans la structure de cette fleur, comme il est plus difficile à l’information de rivaliser avec l’énergie, les manifestations de l’Ego, celles de la conscience de la protonature, se distinguent le plus souvent par une raideur, une dureté et une primitivité.

Cette fleur et la membrane créée par l’explosion suivante compensent l’influence de la membrane de l’Âme, sur laquelle la richesse informa­tionnelle avec sa domination sur l’énergétique est exprimée si vivement.

La membrane rigide ainsi créée possède un motif laconique en relief, pourvu d’angles, on l’appelle la membrane éthérée. Sa rigidité est conditionnée par la nécessité de résister à la dureté des manifestations du monde extérieur.

Cinq semaines de préparation à une dure épreuve passent encore pour s’assurer de la solidité de toutes les corrélations créées - le passage à un régime indépendant de vie. La tension des deux commencements n’a de cesse de grandir. En intégrant l’énergie grossière de la nourriture de la mère, des ressources de son corps physique, le fœtus s’écarte presque d’une manière informationnelle des sentiments, des pensées de la mère, mais les intègre plus directement à partir du monde environnant.

Le bouton de l’utérus de la mère grossit au maximum et la charge accumulée d’énergie et d’information se réalise par la suite dans les contractions de l’accouchement parcourant tout le corps de la mère. Le bouton de la bulle embryonnaire en éclatant ouvre ses pétales de protection et tout son contenu énergo-informationnel entre dans le monde et dans l’Univers matériel. Ce contenu est recouvert par une membrane d’énergie de type visqueux, sur laquelle est imprimé le motif des lignes des capillaires fixant les particularités physiques de l’homme. Cette membrane s’appelle la couverture cutanée du corps physique, c’est la peau.
 

Le passage rude et rapide du milieu aquatique au milieu aérien est un stress puissant, qui vérifie la qualité de tous les systèmes énergétiques et physiologiques, et une nouvelle étape de coopération entre les commen­cements de la personnalité et de la protonature débute.

Maintenant, dans la lutte pour la survie, chaque commencement reçoit la possibilité de réaliser (s’il existe) son avantage initial qui est inscrit sur les membranes, et la possibilité de compenser ses faiblesses initiales, à partir des manifestations imprévisibles de l’énergie et de l’information du monde environnant et de la prédestination du chemin de vie.

La différence cardinale de cette étape réside dans le fait que précédemment la qualité a été d’abord créée avant de se développer.

A présent, les prémices vont se développer, et elles seront ensuite réalisées sous l’aspect stable de manifestations qualitatives.

Naturellement, c’est au corps physique que revient la primauté de commencer à développer les possibilités concentrées sur les membranes. Cinq à six années sont nécessaires au développement mouvementé de tous les paramètres physiques, comme au développement de la manifestation des particularités physiques fixées sur le motif informationnel des lignes des capillaires, mais elles sont aussi nécessaires pour que ces particularités soient homologuées au travers de conditions de vie assez clémentes mais dures sur le plan “matériel”[1]. Cette phase prend fin avec la chute des dents de lait et avec la découverte d’être garçon ou fille et d’avoir des parents, qui en plus, sont dissemblables de tous les autres messieurs et dames.

D’un point de vue énergo-informationnel, cette période est celle de la connaissance et de l’assimilation du cocon planétaire énergo-informationnel de la Terre, et celle du développement des enveloppes énergétiques autour du corps physique. Ces connaissances et acquisitions se réalisent dans les enveloppes, comme dans des réservoirs où l’énergie est contenue dans des parois informationnelles précises.

Une membrane se crée, une sorte de frontière séparant l’espace assimilé du non-assimilé. Elle redouble la membrane de la peau, lui servant de double dans les manifestations énergo-informationnelles dures du monde environnant et elle renvoie, en les adaptant, tous les signaux de l’extérieur perçus par le système de corrélation des enveloppes, vers le système énergétique intérieur, aux récepteurs de la membrane du corps physique.

Pendant les six ou sept années suivantes, l’axe principal de développe­ment se déplace vers la réalisation des coopérations de la matrice éthérée avec l’environnement. Cette phase se terminera à l’âge de 11 - 13 ans par la manifestation de la puberté et par un attrait non-conscient, pur, pour les représentants du sexe opposé. L’enfant forme ses propres standards de beauté du corps, du visage et autres traits extérieurs. L’aspiration à s’affirmer et à occuper une place digne dans la structure des liaisons sociales s’exprime activement. Les prémices pour une place de leader trouvent leur expression avant tout dans la famille où toutes les échelles hiérarchiques subissent une réinterprétation radicale.

C’est au cours de cette période que se développent les enveloppes du corps extérieur énergétique dans lesquelles l’information de la matrice éthérée se synthétise avec l’énergie du champ du système solaire.

Pendant un temps différent propre à chaque enfant, la Lune, le Soleil et les planètes influencent alternativement de manière dominante ses enveloppes éthérées en pleine croissance avec leur spectre énergétique et leur information, mais aussi son unique (pour l’instant) enveloppe astrale.

Une membrane extérieure se crée, elle délimite l’espace assimilé qui se situe environ à la frontière du système solaire. Elle est le double de la matrice éthérée, dont le motif se révèle sur elle, en donnant naissance aux lignes de force qui organisent l’énergie à l’intérieur des frontières de cette membrane.

Une corrélation se forme entre la membrane extérieure, les canaux des ligaments et des muscles et l’énergie de ce niveau du corps physique. La topographie des points biologiquement actifs les plus importants, apparaît clairement : sur les fentes des articulations, sur la surface des membres et de la tête.

L’étape suivante qui dure environ 6 années se termine vers l’âge de 17 - 19 ans lorsque la synchronisation de la matrice astrale avec les flux énergétiques extérieurs prend fin.

La formation des sentiments et des émotions s’est achevée, leurs quantité et qualité étaient prévues par le motif inscrit sur la membrane astrale. Le jeune homme manifeste pleinement ardeur, impétuosité, déséquilibre émotionnel, il développe un complexe d’infériorité et une attirance pour tout ce qui demande une résonance sentimentale. Il a déjà été amoureux et a vécu son premier Amour.

L’activité ardente dans la sphère des sentiments et des émotions engendre des déceptions et laisse déjà beaucoup de cicatrices sur les membranes des enveloppes et sur la membrane astrale intérieure.

Le développement du corps astral s’achève, des liaisons stables s’établissent avec les constellations zodiacales qui, alternativement par la spécificité de leurs vibrations ont eu une influence correctrice et consolidante tout au long de cette période. Le monde autour est perçu comme un kaléidoscope de nuances de sentiments et d’émotions. L’homme découvre la plénitude des manifestations de la vie sentimentale dans toutes les situations.

Il se trouve que les objets de la nature vivante et à ce titre les hommes, possèdent tous une enveloppe émotionnelle - sentimentale unique qui change constamment, elle influence l’individu qui entre en contact avec elle.

Une membrane extérieure se crée, elle délimite un secteur de la galaxie entre la Terre et les constellations zodiacales. La corrélation de cette membrane astrale extérieure avec les principaux canaux énergétiques du corps physique se forme, (dont le nombre est identique au nombre des constellations). Les canaux sont activés structurellement par des points biologiquement actifs, par les organes qui leur sont unis et par les centres énergétiques du corps. Mais en plus de cela, les canaux, dont le parcours chez chaque personne est foncièrement individuel, servent de chaînon entre la matrice astrale intérieure et la matrice astrale extérieure.

L’homme a vécu déjà vingt ans de sa vie et il entre dans la période suivante de son développement.

La croissance et le développement du corps mental durent approximati­vement sept ans et se réalisent dans la maturité de tous les niveaux de la conscience, dans la stabilité des corrélations entre tous ces niveaux et dans la précision de la spécificité de leur combinaison pour un individu donné. Le niveau déterminant de la conscience corrigeant l’information qui entre de l’extérieur et qui influence la compréhension du processus de la vie se distingue clairement. Cela survient vers l’âge de 24 - 27 ans. Maintenant pour l’homme, toutes les sphères de la manifestation consciente potentielle de ses intérêts comme celles de la réalisation de ses impulsions créatrices dans les sphères données sont définies.

Cet appareil de la conscience à présent formé est maintenant le filtre le plus puissant du criblage de l’information qui entre de l’extérieur et qui sous beaucoup de rapports influence le choix ultérieur du chemin de la vie.

Le corps mental embrasse toute la galaxie par des impulsions contrôlées, il entre en contact avec les diverses sources de rayonnements à l’intérieur de celle-ci et crée la membrane mentale extérieure, qui clôture la galaxie, en tant que sphère d’influence.

Comme les membranes précédentes, elle est aussi le double de la matrice mentale intérieure et se lie par les vibrations avec les canaux merveilleux à l’intérieur du corps physique. Les canaux merveilleux unissent l’énergie fonctionnant dans les zones les plus profondes et protégées du corps physique et la topographie de ceux-ci a été éclaircie seulement partiellement jusqu’ici. Le réseau ramifié et complexe de ces canaux se trouve en dehors des limites de la portée des influences de la technique de l’acupuncture et sa connaissance a été perdue par la culture chinoise depuis plus de quatre mille ans.

De leur côté, l’Ayurvéda et le Yoga indien indiquent la présence de 72 000 “nadi”, c’est-à-dire de canaux énergétiques intérieurs, mais ils ne peuvent naturellement pas indiquer le passage précis, complexe, des plus importants et profonds d’entre eux parce que cette partie du système de santé en Orient a été oubliée faute d’usage.

En effet il n’existe pas de moyen d’influencer ces points. Une aiguille, si longue soit-elle, (ne serait-ce que de la largeur d’une paume), qui pourrait s’introduire dans les entrailles d’un individu sans endommager les tissus environnants et avec laquelle on pourrait travailler avec une exactitude suffisante n’existe pas.

Seul l’art de l’autorégulation et de l’influence énergétique nous fournit un outil qui permet de s’introduire dans les plus tendres et les plus profondes structures du corps humain, de la conscience et des enveloppes énergétiques.[2]

Environ huit ans plus tard, quand l’homme atteint l’âge de 32 - 35 ans, un processus intense prend fin, celui de l’assimilation de la dernière frontière du monde matériel : c’est l’expansion de la sphère de contact de la matrice de l’Âme jusqu’aux frontières de l’Univers.

Pour l’homme, la période d’agitation, d’instabilité et de flou se termine. Maintenant tout devient clair et même si par la suite des recherches dans des branches d’activité diverses peuvent se prolonger, c’est uniquement parce que deviennent évidentes : une erreur de choix faite précédemment, la précision de la direction de la recherche de sa prédestination, et la compréhension profonde de la nécessité de corriger par soi-même tout ce qui était fait plus tôt. Le dynamisme du développement de sa nature est utilisé par l’individu pour aspirer à la perfection, il se sert de cette chance, peut-être la dernière.

Le développement de la coopération du caillot de la protonature et de la spirale de la personnalité se termine. Les activités de la matrice de l’Âme et de la structure énergo-informationnelle de l’Univers s’unissent. La membrane causale extérieure se crée, elle réalise les caractéristiques du motif de la matrice intérieure dans le système des corrélations de tous les objets de l’Univers, dans toute leur plénitude et complexité. La ressemblance et la dépendance avec le caractère des processus de l’Univers de tout le potentiel énergétique du caillot de la protonature, réalisé dans toute la plénitude des manifestations du corps physique et de la carcasse énergétique intérieure, se mettent en place.

La participation du volume d’information de la spirale de la personnalité à la Banque Informationnelle Commune de l’Univers se réalise.

L’homme devient entier, prêt à agir de façon décisive, prêt à aller vers son but, mais pour certains on peut mettre sur cette phrase, un point définitif à leur réalisation.

Ils s’immergent sincèrement et passivement dans la routine de l’inutile agitation dans laquelle on leur attribue un rôle de figurant, de corps de ballet, de décor.

Ils sont absorbés par l’inertie de la monotonie de la vie familiale et sociale.

Ils sont endormis par la répétitivité stricte du rythme du jour et de la nuit, par un travail constant abêtissant, pour le bien de la société.

Celui qui ne veut pas encore se rendre, tente de s’arracher des fils collants de l’ordinaire, frétille pour le ridicule de ceux qui l’entourent, immergés dans les sortilèges sucrés de la paresse, de l’alcool, des drogues.

Mais que peut-il faire ? Pourquoi ? Pauvre diable remuant !...

Eh bien, ce n’est rien, bientôt il se calmera lui aussi, il sera comme tout le monde!

Tout sera tranquille, calme, confortable.

C’est comme cela que se développe le scénario de la coopération ultérieure de la personnalité et de la protonature.

Plus exactement on peut appeler cela un refroidissement mutuel: l’écartement progressif des deux commencements et le partage de ce qui a été accumulé au cours du développement. Les liaisons consolidant leur union, se dessèchent progressivement et se transforment en un fil de fer rouillé qui tombe en poussière à la première impulsion du dehors.

C’est une variante répandue, mais pas la seule.

Il y a beaucoup d’alternatives, mais elles ont toutes un signe commun: c’est l’aspiration à comprendre le but de la vie, à tenter de trouver la voie qui conduit à ce but et l’aspiration à réaliser les possibilités accumulées pendant le développement.

Pendant les 9 - 14 années suivantes, l’homme a le droit de rechercher la voie la plus optimale pour atteindre son but, pour accumuler des étincelles de la Connaissance pouvant désigner cette voie, pour obtenir une puissance de coopération avec tout cet océan d’énergie et d’information sans fond et sans limites de l’Univers.

Ce processus stimule le développement des enveloppes du corps énergétique et facilite l’introduction du système de la matrice énergo- informationnelle de l’homme dans des domaines réservés qui se trouvent au niveau des égrégores et du Chaos énergétique.

À l’âge de 43 - 49 ans, arrive le moment de la réalisation de cette pénétration.

On peut parler à ce moment-là d’examen du baccalauréat, d’autant qu’il y a plusieurs types de diplômes.

Ici, absolument tout joue un rôle : tout ce qui se rapporte à la personne sur toute la durée de sa vie, depuis sa conception où toutes les qualités des forces initiales sont importantes, jusqu’au moment présent. Toutes les particularités des dessins des matrices, leur capacité à conserver les caractéristiques primaires sur l’ensemble de la durée de la vie. La réalisation des doubles des matrices dans l’espace de l’Univers, l’activité de leurs corrélations à travers le système des enveloppes remplissant l’espace assimilé...

À la suite de cet examen, en fonction du degré du poids des pertes et des traumas dans les structures de tout l’abîme de ses systèmes, l’homme peut être admis à avoir une activité consciente, c’est-à-dire, compréhensible, réglée par la pensée, une activité soit au sein de la Banque Informationnelle de la Terre (les prophètes, les devineresses, les guérisseurs, les prédicateurs), soit au sein de la Banque Informationnelle du système solaire (les guérisseurs, les contacteurs, les maîtres de quelques systèmes ésotériques), soit au sein de la Banque Informationnelle de la Galaxie (les gens qui n’attirent pas l’attention mais dont les actions manifestent puissance et érudition), soit au sein de la Banque Informationnelle de l’Univers (les gens qui n’attirent pas l’attention, refermés sur eux-mêmes, autosuffisants).

Et seulement quelques-uns, sur toute l’histoire de l’humanité, ont été admis de leur vivant à la Banque Informationnelle de la Connaissance Supérieure. Ils n’ont laissé aucune trace dans l’histoire, et n’en avaient d’ailleurs pas le droit. Ils avaient le droit de se servir de la Connaissance pour se développer au rythme dont ils étaient capables, et toutes les possibilités leur ont été réellement accordées pour cela.

Ceux qui échouent à cet examen continuent d’essayer de réaliser et d’acquérir le niveau suffisant pour passer cette barrière sévère. S’ils n’arrivent pas malgré tout à la franchir, ils accumulent néanmoins avec cette aspiration de réalisation de soi un grand potentiel d’extrait énergétique véritablement nécessaire à l’égrégore, ce qui est une compensation suffisante pour toute la sueur née de leur aspiration constante au perfectionnement.

En conclusion il nous reste à expliquer l’importance des membranes extérieures qui délimitent différents secteurs de l’Univers.

Cette délimitation en créant une accalmie relative au sein d’un secteur donné, permet de créer le plus complexe système d’enveloppes en termes de structure. A l’instar des anneaux annuels du tronc de l’arbre, ou des couches de l’oignon, les enveloppes se révèlent à partir des particularités de n’importe quelle partie de la matrice qui unit la personnalité et la protonature, en utilisant comme matière de construction l’énergie et l’information contenues dans la membrane extérieure correspondante.

Par exemple, à 5 - 6 ans normalement chez l’enfant il y a une enveloppe active liée au système intérieur du maintien de la vie c’est-à-dire une enveloppe éthérée et une multitude d’enveloppes potentielles.

À 11 - 13 ans - normalement il y a deux enveloppes éthérées et une astrale.

À 17 - 20 ans - trois éthérées, deux astrales et une enveloppe mentale.

À 24 - 27 ans - trois éthérées, trois astrales et deux enveloppes mentales.

À 32 - 35 ans - quatre éthérées, trois astrales, trois mentales et une enveloppe causale.

À 43 - 49 ans - quatre éthérées, trois astrales, trois mentales et trois enveloppes causales.

En raison du transfert de l’activité principale vers les enveloppes de plus en plus éloignées, l’intensité du travail des couches précédentes baisse progressivement. La corrélation entre les diverses enveloppes en terme d’affectation se perd peu à peu et alors la couche des enveloppes la plus active, et souvent la seule gardant une viabilité, est celle qui exprime le plus l’essence du caractère de l’homme, et l’essence des particularités constitutionnelles, prédestinées à atteindre leur but.

Les autres couches se transforment en carapaces sans vie, escarres inertes, en écorce, qui isolent les territoires contigus où s’opère leur échange commun.

A ce stade-là, cette personne n’est pas souple, elle est “rectiligne”, primitive dans toutes les manifestations de sa vie, sauf à l’exception peut être d’un niveau qui coïncide avec les vibrations qui se manifestent dans la couche active.

Si l’homme qui a atteint le sommet de son développement ne se souciait pas de l’intensité des corrélations entre ses enveloppes, s’il ne stimulait pas consciemment le travail de leurs couches, s’il ne distribuait pas régulièrement les charges énergo-informationnelles entre toutes les enveloppes, alors c’est le sort d’un escargot qui l’attendrait, d’un escargot qui aurait muré la sortie de sa propre coquille et qui se serait condamné au dépérissement et à une mort par la faim.



[1]   Même si l’attention et l’attendrissement dont le bébé fait l’objet par son entourage pour son image extérieure et pour ses tentatives (de faire quelque chose ou de parler) adoucissent l’atmosphère qui l’environne, néanmoins de temps en temps la réalité de la vie fait irruption dans le petit monde du bébé.

[2]  Ceci est décrit en détail dans nos livres consacrés aux techniques du travail énergétique.

  • Aucune étiquette