Message-ID: <537302105.1240.1711695297488.JavaMail.confluence@qigong-zhen-pai.com> Subject: Exported From Confluence MIME-Version: 1.0 Content-Type: multipart/related; boundary="----=_Part_1239_1010206641.1711695297487" ------=_Part_1239_1010206641.1711695297487 Content-Type: text/html; charset=UTF-8 Content-Transfer-Encoding: quoted-printable Content-Location: file:///C:/exported.html
L=E2=80=99homme, nous l=E2=80=99avons vu, se compose d=E2= =80=99une partie matérielle et d=E2=80=99une partie énerg&eac= ute;tique : il possède un corps physique mais aussi un corps é= ;nergétique.
Le corps physique (illustration 2-1) qui nous est familier = se compose de tissus osseux, de tissus denses (organiques et musculaires) e= t de liquides qui nourrissent ces tissus et les maintiennent en vie.
Le corps énergétique de l=E2=80=99homme dont = le concept peut nous être plus étranger, est quant à lu= i double, il est formé d=E2=80=99un corps énergétique = intérieur : de centres et canaux énergétiques qui se t= rouvent à l'intérieur du corps physique et d=E2=80=99un corps= énergétique extérieur : de centres et enveloppes situ= és à l'extérieur du corps physique.
Le corps énergétique intérieur est con= stitué de centres énergétiques qui accumulent l'&= eacute;nergie et d=E2=80=99un ensemble de canaux énergétiques= qui véhiculent cette énergie (à l=E2=80=99instar des = veines et des artères qui irriguent le corps). On peut considé= ;rer trois types de centres énergétiques: celui de la cellule= , celui de l'organe, et le centre énergétique proprement dit.= Ces derniers servent de matrices d'information aux organes et portent le n= om de « chakra » en Inde et de « Dan Tian » en Chin= e. Ils sont au nombre de sept, de cinq ou de trois suivant l=E2=80=99enseig= nement. Pour notre part, nous nous basons sur trois Dan Tian situés = respectivement dans le ventre, dans la poitrine et dans la tête (cf. = leçon 4 pour plus de détails). Le centre énergé= tique de l'organe, quant à lui est un noyau énergétiqu= e qui se trouve à l'intérieur de l'organe et qui attire l'&ea= cute;nergie des parties périphériques de l'organe. C'est lui = qui donne à l'organe sa forme énergétique et mat&eacut= e;rielle. Et au niveau de la cellule, c'est son noyau qui remplit la foncti= on de centre énergétique, il aspire et diffuse l'énerg= ie.
On peut considérer aussi le corps énerg&eacut= e;tique intérieur d'un individu comme la somme des différents= champs énergétiques des structures qui composent son corps p= hysique, qu'il s'agisse de chaque atome, de chaque molécule, ou de c= haque organe (illustration 2-2).
Depuis l'activité des plus petites pulsations jusqu'= au tourbillon général, chacune de ces structures apporte sa c= ontribution à l=E2=80=99ensemble, au tableau commun, et toutes r&eac= ute;unies elles construisent la totalité du corps énerg&eacut= e;tique intérieur.
Le corps énergétique extérieur est un = champ énergétique qui entoure le corps physique (à la = façon dont une pomme contient son pépin) (illustration 2-3) e= t qui en détermine les qualités internes. Dans le même = temps il est fait et nourri des flux énergétiques émis= par le corps physique. Cette double et mutuelle influence est très = importante: le corps énergétique extérieur est à= ; la fois le moteur du corps physique et son reflet. Son état d&eacu= te;pend directement de celui du corps physique et vice-versa. Il s=E2=80=99= agit d=E2=80=99une relation d=E2=80=99interdépendance très &e= acute;troite. Chacune des cellules de notre organisme est liée et es= t en relation avec une partie précise de nore corps énerg&eac= ute;tique extérieur.
La partie qui suit à présent est un descripti= f plus approfondi du corps énergétique extérieur et el= le possède de ce fait des aspects peut-être un peu réba= rbatifs.
Le corps énergétique extérieur d=E2=80= =99un individu est constitué d'une part de cocons ou enveloppes et d= 'autre part de centres énergétiques et informationnels, situ&= eacute;s respectivement dans le Canal du Bas et le Canal du Haut (illu= stration 2-4).
Les cocons du corps énergétique extérieur
Par sa structure le corps énergétique ext&eac= ute;rieur tient à la fois de l'orange et de l'oignon.
« Un oignon » car à l'instar de l'oignon= le corps énergétique extérieur est en effet compos&ea= cute; de pelures ou couches successives d'énergie que nous appelons = cocons (illustration 2-4). Le cocon, ou enveloppe, est délimit&eacut= e; par des membranes (une intérieure, une extérieure) entre l= esquelles circulent des particules énergétiques. Quand nous p= arlons de cocon, nous faisons donc référence à la fois= aux particules et aux membranes.
L'énergie qui circule entre les membranes des cocons= provient des centres énergétiques du Canal du Bas. Les membr= anes quant à elles sont porteuses d'informations qu'elles reç= oivent des centres énergétiques du Canal du Haut (illustratio= n 2-5). Elles ont de multiples feuillets qui permettent le passage des vibr= ations. Ce sont des sortes d=E2=80=99ordinateurs complexes qui métab= olisent et répercutent l=E2=80=99information (pour plus de pré= ;cision sur l'information, voir le chapitre 5).
Les membranes des cocons sont spécifiques à c= haque individu et leur ensemble constitue un tout si particulier qu=E2=80= =99il est impossible de trouver deux personnes semblables.
Nous verrons un peu plus loin que nous possédons de = nombreux cocons que l'on regroupe sous différentes catégories= . Précisons ici que deux cocons adjacents ont de fait des membranes = communes (illustration 2-6).
La structure du corps énergétique exté= rieur ressemble par certains aspects à celle d=E2=80=99une « o= range » car il est pourvu d'armatures verticales qui le divisent en q= uartiers (illustration 2-7). Elles jouent un rôle dans la stabilisati= on des cocons mais également dans les liaisons et communications ent= re les centres énergétiques du Haut et du Bas. Le nombre de c= es armatures varie suivant les individus, il est en général d= e huit.
Les cocons sont également maintenus par des armature= s horizontales qui sont au nombre de six, situées au niveau des temp= es, de la bouche, des clavicules, du diaphragme, du nombril et du sexe (ill= ustration 2-8).
Ces armatures ont pour fonction de garder l'élastici= té des cocons et de véhiculer l'information horizontalement, = entre les cocons (de l'un à l'autre), ou entre les cocons et le corp= s physique. Et par ce biais, de modifier la taille ou la forme des cocons e= t de les adapter en fonction de la situation extérieure à laq= uelle la personne est confrontée (stress, détente.). Ainsi en= cas de sensation de danger, c'est une information du type « ré= ;tracter les cocons » qui sera propagée le long de ces armatur= es pour augmenter la force des corps énergétique, inté= rieur et physique et, ainsi, les protéger en les rendant moins vuln&= eacute;rables.
Les cocons n'existent pas comme tels à la naissance = mais ils se construisent tout au long du développement de l'individu= .
À sa naissance l'enfant est en effet dépourvu= de corps énergétique extérieur. Ce sont d'abord ses c= ocons physiologiques, habituellement au nombre de quatre, qui vont se forme= r et se développer. Jusqu=E2=80=99à six ans c'est l'activit&e= acute; physique de l'enfant qui va lui permettre d'ouvrir, de remplir et d'= enrichir ses cocons. L'enfant se transforme en un générateur = d=E2=80=99énergie pour irriguer ses cocons. La peau est la membrane = intérieure de notre premier cocon énergétique ext&eacu= te;rieur, de ce premier cocon physiologique qui donne de l'énergie &= agrave; notre corps physique, (en vertu de la mutuelle influence corps phys= ique/corps énergétique). Ces cocons ont une énergie de= nse et ils influent sur le corps physique. Ce sont leurs membranes qui gard= ent l=E2=80=99information qui a trait au corps physique et qui la ré= percutent dans le corps physique.
Vers l'âge de six ans c'est au tour des cocons psycho= logiques de se constituer et de se développer. Ils sont égale= ment au nombre de quatre (il s'agit des 5e, 6e, 7e et 8e cocons). Ils donnent de l=E2=80=99énergie = psychique. Ils sont beaucoup plus grands et légers que les cocons li= és au corps physique. Ce sont ces cocons qui nous permettent de ress= entir nos émotions, ce sont eux qui sont liés à notre = sensibilité affective, à nos sentiments.
Puis vers treize ans, les enveloppes mentales commencent &a= grave; se construire et à se développer. Également au = nombre de quatre (de la 9e à la 12e). À= partir de cet âge, on commence à penser par idées et &= agrave; ouvrir ainsi les cocons mentaux qui terminent leur développe= ment vers vingt-quatre ans. À ce moment-là, c=E2=80=99est une= période d=E2=80=99ouverture qui s'achève. La membrane de la = 12e et dernière enveloppe est plus épaisse que les= autres, car il s'agit d'une membrane de protection, elle limite le monde m= atériel. Le dernier cocon contient en effet tout l=E2=80=99Univers e= t toutes les informations du monde matériel.
Chacun de nous contient tout l=E2=80=99Univers mais ne peut= le ressentir que si tous ses cocons sont suffisamment bien développ= és. Or posséder des cocons qui se seraient spontanémen= t bien développés est très difficile voire impossible.= La vie en effet provoque des déformations ou des destructions parti= elles de l'information inscrite sur les membranes. Dix ans de Qigong sont s= ouvent nécessaires pour réparer, stabiliser, et trouver la fo= rme originelle que les cocons auraient dû présenter.
Enfin pour certains individus, entre vingt-quatre ans et tr= ente-trois ans, ce seront les cocons extérieurs qui vont commencer l= eur développement, cocons nécessaires à l=E2=80=99&eci= rc;tre social et spirituel, cocons qui sont eux en contact avec les é= ;grégores (voir chapitre 6).
Si jusqu=E2=80=99à l=E2=80=99âge de vingt-quat= re ans le développement des cocons physiologiques, psychologiques et= mentaux s=E2=80=99est fait du centre vers la périphérie, pou= r certains individus à partir de cet âge, un autre type de d&e= acute;veloppement se met en place qui va primer sur le précéd= ent. Leurs cocons vont se développer de façon « é= ;gocentrique », « introvertie ». Ils ne vont plus recherc= her l'information extérieure mais vont s'attacher à ré= aliser l'information qui est à l'intérieur d'eux. Le corps ph= ysique ne recevra alors plus que les résonances des informations ext= érieures et il va mélanger l'activation des cocons mentaux av= ec celle des autres.
Ce schéma du développement spontané de= s cocons établi en fonction de l'âge peut bien entendu varier = et être très différent suivant les individus.
La construction et le développement des cocons avec = leurs membranes sont extrêmement importants, et nous le verrons plus = attentivement dans les chapitres suivants, les incidents de parcours qui pe= uvent survenir au cours du développement de l'individu ne sont pas s= ans conséquence. À la suite d=E2=80=99un traumatisme par exem= ple, si un cocon n=E2=80=99arrive pas à trouver l=E2=80=99éne= rgie dont il a besoin pour se nourrir, il va rester vide. Ainsi cas extr&ec= irc;me, une personne qui n=E2=80=99aurait développé que ses c= ocons physiologiques, ne serait intéressée que par ce qui est= lié à son corps physique. Elle chercherait uniquement &agrav= e; développer et à alimenter ses besoins physiologiques, faim= , sommeil, désirs sexuels, protection physique..., une seule partie = de sa nature existerait et commanderait: sa partie animale.
Ces centres sont situés dans les deux puits ou canau= x que possèdent chaque individu, le Canal du Haut, dirigé ver= s le Ciel et le Canal du Bas, orienté vers la Terre. Ces puits, comm= e deux tuyaux servent à contenir les centres et leurs parois assuren= t la liaison entre ces centres et permettent d'harmoniser et d'unifier le r= ésultat des différentes adaptations qui se produisent à= ; chaque instant au niveau des centres (voir quelques lignes plus bas).
Ces centres jouent un rôle d=E2=80=99analyseur et de = régulateur de l'information pour ceux situés dans le Canal du= Haut, et de l'énergie pour ceux situés dans le Canal du Bas.= Un rôle de filtre. Ils sont généralement au nombre de = dix : cinq en haut et cinq en bas se correspondant entre eux. Les centres h= omologues sont reliés entre eux par les membranes des cocons mais au= ssi par les armatures verticales qui ainsi en assurent la communication. Pa= r analogie avec les arbres, on peut dire que si les cocons ont leurs racine= s dans les centres énergétiques du Canal du Bas ils ont = leurs feuillages dans les centres informationnels du Canal du Haut.
Les centres du Canal du Bas reçoivent l'énerg= ie de l'extérieur et l'adaptent. Ils poussent ensuite cette é= nergie transformée pour en remplir les cocons. Ce sont eux qui fourn= issent l=E2=80=99énergie.
Chacun d'entre eux a sa spécificité et son pr= opre spectre d'énergie. Tous réagissent rapidement au moindre= changement de notre activation physique. En fonction de la façon do= nt elle se sera développée, une personne possédera cer= tains centres du Bas qui auront plus d=E2=80=99énergie que d=E2=80= =99autres, certains plus actifs que d'autres.
Les centres du Canal du Haut sont eux très sensibles= à l=E2=80=99information extérieure, ils servent de filtre, d= e centres de décision et en cas de nécessité ils distr= ibuent et envoient l'information rapidement dans les membranes des cocons a= uxquels ils sont reliés.
Dans le Canal du Haut, les centres « supérieur= s », (situés plus haut), peuvent transmettre certaines informa= tions pour corriger et enrichir celles des centres situés plus bas q= u=E2=80=99eux, ce processus se fait par le biais des membranes « mito= yennes » au niveau des cocons de différents types. Le processu= s inverse a cours dans le Canal du Bas au niveau des centres énerg&e= acute;tiques.
Quand un centre « supérieur » du Canal d= u Haut est faible, il remplit mal sa fonction de filtre et peut envoyer tro= p d'informations à celui qui se trouve dessous de lui. Ou au contrai= re, dans le cas des centres énergétiques du Canal du Bas, un = centre « inférieur » peut empêcher que l=E2=80=99&= eacute;nergie ne remonte. Ce fonctionnement est très subtil et un st= ress peut facilement venir dérégler les centres.
Ainsi par exemple, si chez une personne, le premier centre =
informationnel (le cervelet) n=E2=80=99arrive plus à assimiler l'inf=
ormation qui descend à travers son Canal du Haut, son corps va peu &=
agrave; peu devenir de plus en plus énergétique. Ne pouvant p=
lus absorber d=E2=80=99information, les membranes de ses cocons physiologiq=
ues vont donc s'appauvrir informationnellement, et par voie de consé=
quence ses cocons se mettre à gonfler sous un trop plein d'én=
ergie, inutilisé. Peu à peu, cette personne ne parviendra plu=
s à réagir informationnellement aux situations qui se pr&eacu=
te;senteront, comme par exemple d'envoyer des signaux à son syst&egr=
ave;me immunitaire. Les fonctions de son corps vont
s'affaiblir et de=
venir de plus en plus passives. Avec cette grande réserve éne=
rgétique sans fonction informationnelle (qui provoquerait l'utilisat=
ion de cette énergie), la personne va se mettre à grossir.
À l=E2=80=99inverse, avec un centre énerg&eac= ute;tique qui se bloquerait, la personne, dont toutes les fonctions sont tr= ès actives et dont toute l'énergie est entièrement mon= opolisée et utilisée pour alimenter l'information, commencera= it à perdre du poids.
Nous reviendrons dans un chapitre ultérieur sur la n= otion même d'information et sur le rapport dialectique entre informat= ion et énergie.
Après l=E2=80=99avoir décrit, revenons sur le= s caractéristiques du corps énergétique extérie= ur.
Le corps énergétique extérieur de l=E2= =80=99homme est un tourbillon d'énergie, une trombe en perpét= uel mouvement.
Il tisse avec ce qui l'entoure un réseau d'interacti= ons qui lui est propre. Il est ainsi relié par une série de f= ils/liens aux galaxies, aux planètes, aux villes, aux maisons, aux a= rts, aux hommes, à la nourriture, aux vêtements. Ce rés= eau, cette toile, détermine la spécificité de chaque p= ersonne.
En principe quand l'individu est en bonne santé, l'&= eacute;nergie de son corps énergétique extérieur est c= onstamment en mouvement et en rotation.
Le mouvement et la rotation de ce tourbillon varient facile= ment: d'une part en fonction du corps physique, de sa condition et de ses r= ythmes internes (en raison de leur interdépendance), et d'autre part= en fonction de ses interactions avec les flux énergétiques e= nvironnants ou sous l'influence de rythmes extérieurs, comme ceux de= s planètes, du climat, des gens. Plus il y a de tourbillons actifs e= n contact avec le corps énergétique extérieur d'une pe= rsonne, plus son mouvement interne est stimulé, intensifiant les vib= rations de matière de certaines parties de son corps ou de certains = de ses centres énergétiques intérieurs. Avec pour cons= équence de lui apporter plus de vitalité, de mobilité,= de puissance et de stabilité.